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[/vc_column_text][vc_row_inner column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” text_align=”left” row_position=”default” row_position_tablet=”inherit” row_position_phone=”inherit” overflow=”visible” pointer_events=”all”][vc_column_inner column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”top-bottom” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” overflow=”visible” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673911152502{padding-right: 10% !important;}”]C’est pour cela que nous devons tous nous protéger de ce virus. Le conseil scientifique, nous conseille de porter un masque, maintenir les distances entre les individus et toujours bien se nettoyer les mains avec du gel hydroalcoolique. Malheureusement pour l’environnement, l’épidémie n’a rien apporté de positif, bien au contraire.
Les masques chirurgicaux ne sont utilisables que pour un temps limité, d’environ 4 heures. Après ce temps passé, votre masque devient inutilisable, inefficace contre les bactéries et les virus. Seule solution ? Le jeter.
Vous devez sûrement vous dire que c’est un simple masque qui finit dans la poubelle à la fin. Et bien, non ! N’oubliez pas que, tout d’abord, le temps préconisé pour porter ce type de masque est de 4 heures. Passer ce délai, votre masque devient inefficace contre le coronavirus. Un masque chirurgical ne se lave pas et ne se réutilise pas après la durée préconisée.
Depuis le début de la crise, et l’augmentation exponentielle de l’utilisation des masques, des millions d’entre eux se retrouvent dans nos mers. Les élastiques des masques se retrouvent accrochés, mangés ou coincés sur les animaux marins. De plus, les masques s’échouent sur les plages, salissant ainsi nos côtes. D’après les experts scientifiques, il faudrait 450 ans pour qu’un masque se décompose … une éternité !
Bien sûr, la meilleure solution de ne pas polluer avec son masque chirurgical, c’est de ne pas en utiliser. C’est aussi simple que cela ! Un masque en tissu CERTIFIE vous protégera tout autant (voir mieux) de ce virus qui a envahi le monde.
Pour cela, rien de plus simple, il vous suffit simplement de vous procurer un masque en tissu certifié AFNOR contre le virus. Pour que le masque en tissu soit efficace, il faut le laver à 60 degrés à la main ou en machine (s’il est sans motif ou de couleur) après 4 heures d’utilisation. Le nombre de lavage dépendra de la certification du masque reçue auprès des organes compétents. Le masque en tissu lavable est peut-être plus cher à l’achat, mais il est très vite rentabilisé sur le long terme.
Disponible dans de multiples formats, couleurs, motifs, vous avez l’embarras du choix. De nombreuses marques se sont lancées dans la fabrication de masques en tissu, des grandes marques comme Apple ou Lacoste ou de petites marques comme la nôtre, La Chaise à Guy.
Quoi de mieux pour se protéger qu’un masque en tissu de La Chaise à Guy. La petite entreprise nantaise vous propose des masques en tissus homologués par IFTH et DGA, fabriqués en France. Nos masques sont des modèles AFNOR – CAT1 hautement filtrants. Ces masques barrières ont été testés et validés pour 50 lavages à 60 degrés.
En optant pour un masque en tissu réutilisable et fabriqué en France, vous vous protégez et protégez votre entourage. De plus, vous faites également un geste pour l’environnement en limitant les déchets et les transports.
En effet, nos masques sont fabriqués de bout en bout en France. Le tissage est réalisé par une entreprise familiale française. La découpe, l’assemblage et l’impression sont faits dans notre atelier nantais.
Protégez-vous contre le coronavirus, mais avec style et élégance avec notre catalogue de motifs et de couleurs plus originaux les uns que les autres. Si, par malheur, vous ne trouvez rien d’intéressant dans notre collection, vous pouvez personnaliser votre masque de A à Z. Bien sûr, nous n’avons pas oublié les plus petits d’entre nous : une taille enfant et une taille ado sont aussi proposées sur notre site pour pouvoir nous adapter au mieux à tous les besoins.
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[vc_row type=”full_width_background” full_screen_row_position=”middle” column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” bg_color=”#ffffff” scene_position=”center” top_padding=”2%” constrain_group_1=”yes” bottom_padding=”2%” text_color=”dark” text_align=”left” row_border_radius=”none” row_border_radius_applies=”bg” overflow=”visible” id=”about-text” overlay_strength=”1″ gradient_direction=”left_to_right” shape_divider_position=”bottom” bg_image_animation=”none” shape_type=”” gradient_type=”default”][vc_column column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”all” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” column_position=”default” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_row_inner column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” text_align=”left” row_position=”default” row_position_tablet=”inherit” row_position_phone=”inherit” overflow=”visible” pointer_events=”all”][vc_column_inner column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”top-bottom” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” overflow=”visible” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673911103297{padding-right: 10% !important;}”]
Vous connaissez peut-être le concept sans en connaître le terme. Cet article est là pour vous éclairer sur le sujet.
La slow fashion, en français, la « mode lente », est l’opposé de la fast fashion, la « mode rapide ».
La fast fashion est un phénomène de mode connu de tous, le prêt-à-porter des grandes enseignes comme Zara, H&M, … en est le parfait exemple. C’est une mode qui se finit vite, qui dure une saison(été/hiver) ou une année. Passé cette période, les produits de cette mode vont à la poubelle, la plupart du temps. La grande enseigne suédoise H&M avait même été accusé de bruler les vêtements invendus pour vider ses stocks. Les vêtements de ces enseignes sont conçus, la plupart du temps, par des ouvriers du tiers-monde avec un salaire de misère et des conditions de travail insupportables. La fast fashion est un réel ennemi de l’environnement ainsi que du zéro déchet.
La Chaise à Guy étant une marque qui soutient le zéro déchet, l’environnement, et le développement durable, elle soutient tout naturellement l’idée de la slow fashion. Produire moins, mais mieux, c’est la principale idée de cette mode lancée dans les années 90 qui prône la qualité à la quantité.
Ce sont effectivement les achats compulsifs de bon nombre d’entre nous qui accélèrent le développement des grandes marques de prêt-à-porter que nous connaissons tous. Ces grandes enseignes, reine de la surconsommation, ont pris une place importante lors de notre shopping.
Le shopping de masse fait gagner énormément d’argent aux grands groupes de prêt-à-porter comme Inditex qui possède notamment Zara et Bershka. Le groupe est leader mondial de la confection textile devant H&M, avec plus de 26 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Boostés par la fast fashion, les consommateurs gardent leurs vêtements deux fois moins longtemps. Si cette tendance persiste, il faudra deux fois plus de ressources naturelles en 2050 qu’en 2000 pour les fabriquer.
Les vêtements sont vendus très peu chers grâce à des coûts de fabrication minimes dans des pays très pauvres d’Asie (Inde, Bangladesh, Cambodge etc.).
Le mouvement Fashion Revolution l’a bien démontré lors d’une campagne mise en place à Berlin. Ils ont installé un distributeur de tee-shirts à 2 euros l’unité seulement. Attirés par ce prix imbattable, de nombreux passants ont voulu en acheter un, déclenchant, en fait, la projection d’une vidéo leur montrant les conditions de travail de celles et ceux qui avaient confectionné ce tee-shirt. La vidéo montrait notamment des millions de travailleurs qui œuvraient seize heures par jour pour 13 centimes d’euros de l’heure. Après le film, huit clients sur dix ont renoncé à l’achat.
Autre actualité dont vous avez sûrement entendu parler, c’est à propos des ouïghours qui seraient utilisés par de grandes firmes internationales dans leurs usines. C’est le journal Mediapart qui en parlait dernièrement dans un article le 1er août dernier. Selon l’article, 83 grandes entreprises telles que Apple, Nike, BMW, Alstom, … des entreprises de tous les secteurs qui exploitent les ouïghours par le biais de leurs sous-traitants.
Dans la logique, moins consommer veut aussi dire moins gaspiller. Acheter un vêtement de qualité, qui dure, n’est pas forcément synonyme de prix élevé. Il existe de multiples solutions pour acheter bien et pas cher.
Les friperies, notamment, sont des boutiques 
parfaites pour soutenir l’économie locale et faire durer les vêtements dans le temps. Vous pourrez y trouver toutes sortes de choses, pour tous les goûts et les couleurs. La seconde main n’est pas forcément signe de mauvais produits, sales et défectueux. En cherchant bien, vous pouvez trouver des produits comme neuf notamment sur la plateforme Vinted. Le site permet aux vendeurs et aux acheteurs d’entrer en relation. Quiconque le souhaite peux proposer des articles à vendre à petits prix. Vous avez l’embarras du choix sur Vinted.
La seconde main est un marché qui pèse 24 milliards d’euros. À ce rythme, il est estimé qu’il atteindra 64 milliards en 2028, quand la fast fashion plafonnera à 44 milliards. Pour être vraiment éco-compatible, on suit donc ce mouvement mondial et on revend ses vêtements dans un dépôt-vente, sur la plateforme Vinted ou, pour les tenues haut-de-gamme, sur Vestiaire Collective !!
L’industrie textile française était autrefois très développée dans le pays, mais les délocalisations massives dans les pays d’Asie et d’Afrique ont changé la donne. Depuis quelques années, l’industrie du textile renaît en France grâce à plusieurs initiatives du gouvernement, mais aussi grâce à une mentalité qui est en train de 
changer. Consommer local est de plus en plus fréquent.
C’est comme cela que de grandes entreprises françaises tels que Lacoste ou Hermès sont restées en France. En parallèle, cela a permis le développement de multiples petites entreprises amatrices du Made in France, comme 1083, Payotte ou bien tout simplement, nous, La Chaise à Guy.
Nous espérons que cet article vous aura donné envie de passer à la slow fashion.
Découvrez nos produits sur notre site internet qui respectent la slow fashion en utilisant des matériaux de qualité française et en respectant le zéro déchet.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type=”full_width_background” full_screen_row_position=”middle” column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” bg_color=”#ffffff” scene_position=”center” top_padding=”2%” constrain_group_1=”yes” bottom_padding=”2%” text_color=”dark” text_align=”left” row_border_radius=”none” row_border_radius_applies=”bg” overflow=”visible” id=”about-text” overlay_strength=”1″ gradient_direction=”left_to_right” shape_divider_position=”bottom” bg_image_animation=”none” shape_type=”” gradient_type=”default”][vc_column column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”all” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” column_position=”default” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673911051859{padding-bottom: 1.5% !important;}”]
[/vc_column_text][vc_row_inner column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” text_align=”left” row_position=”default” row_position_tablet=”inherit” row_position_phone=”inherit” overflow=”visible” pointer_events=”all”][vc_column_inner column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”top-bottom” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” overflow=”visible” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673911046636{padding-right: 10% !important;}”]Nous vous avions déjà parlé du fait de préférer les masques en tissu plutôt que les masques chirurgicaux, pour différentes raisons. Les modèles en tissu, réutilisables, peuvent se substituer à ceux en papier, beaucoup moins polluant. Encore faut-il savoir bien les laver pour qu’ils restent efficaces.
C’est ce dont nous allons parler dans ce nouvel article.
Attention : un masque en tissu pour qu’il soit efficace, il doit suivre les normes AFNOR.
Le masque chirurgical, à savoir celui en papier, est censé être jeté après chaque utilisation. Il n’est donc pas lavable, ni réutilisable.
Les masques en tissu fleurissent de partout depuis le début du coronavirus, des modèles colorés, pour enfants, de toutes les couleurs et de toutes les matières, il y en a pour tous les goûts. Cependant, il faut savoir bien le laver pour que le masque reste toujours efficace contre le virus et qu’il garde ses couleurs. (si toutefois de l’impression a été effectué comme les masques de La Chaise à Guy)
Chez La Chaise à Guy pour permettre la bonne efficacité du masque et le maintien des couleurs, nous préconisons pour le lavage :
Pour le séchage :
Les erreurs à ne pas commettre :
Voilà, maintenant vous savez comment bien laver votre masque en tissu.
La Chaise à Guy vous propose toute une collection de masque en tissu, et si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi nos masques, vous pouvez le personnaliser comme vous le souhaitez.
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[vc_row type=”full_width_background” full_screen_row_position=”middle” column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” bg_color=”#ffffff” scene_position=”center” top_padding=”2%” constrain_group_1=”yes” bottom_padding=”2%” text_color=”dark” text_align=”left” row_border_radius=”none” row_border_radius_applies=”bg” overflow=”visible” id=”about-text” overlay_strength=”1″ gradient_direction=”left_to_right” shape_divider_position=”bottom” bg_image_animation=”none” shape_type=”” gradient_type=”default”][vc_column column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”all” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” column_position=”default” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673911006218{padding-bottom: 1.5% !important;}”]
[/vc_column_text][vc_row_inner column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” text_align=”left” row_position=”default” row_position_tablet=”inherit” row_position_phone=”inherit” overflow=”visible” pointer_events=”all”][vc_column_inner column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”top-bottom” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” overflow=”visible” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673911000578{padding-right: 10% !important;}”]Le greenwashing sert la plupart du temps à “blanchir” les grandes multinationales qui polluent énormément. Le greenwashing est avéré lorsqu’un produit suppose être écologique mais n’en présente aucune caractéristique. Le problème se pose aussi lorsqu’une entreprise se dit engagée dans le développement durable, alors que son activité est très polluante.
REPÉRER LE GREENWASHING
Se faire avoir par un packaging ou une publicité avec un discours très verdoyants arrivent chaque jour à un grand nombre de personne. Ce marketing féroce qui règne dans tous les domaines de la consommation (alimentation, prêt-à-porter, cosmétique etc.) permet aux grandes marques d’attirer encore plus de clients qui veulent consommer mieux au quotidien. Les consommateurs qui se font avoir par cette stratégie marketing, se font avoir par des discours, des textes, des images qui présentent un aspect écoresponsable, écologique du produit ou de la marque.
Dans une époque où la tendance est au consommer mieux et protéger l’environnement, il est devenu monnaie courante aux marques de se « mettre au vert ».
Alors, comment repérer si une marque est vraiment « verte » ou applique le « greenwashing » ?
Les marques…
Certaines sont très connues du milieu et réputées pour cela comme L’Occitane, H&M, Zara, McDonald’s, et bien d’autres encore.
Le packaging…
Il y a des marques qui utilisent toutes sortes de termes pour attirer l’attention de la clientèle comme : naturel, nature, végétal, pure, pureté etc. Ces termes sont associés à des packagings trop verts et mettent en avant le papier recyclé, le respect de l’environnement.
Des mentions telles que “sans PEG, sans sucre, sans OGM, …” sont souvent utilisés pour cacher le reste des ingrédients néfastes que vous pourrez retrouver, sans grande surprise, dans la composition.
Les labels…
Plusieurs labels comme « Made in France », « BIO », ne vérifient pas toujours du fil à la boite, la conception du produit et « faussent » la vision du produit que nous pourrions avoir. Un coton certifié BIO par exemple, ne prend pas en compte les conditions de travail des producteurs, ou bien des transports souvent polluants.
La composition…
Tout dépend du produit que l’on achète. Mais, la composition d’un produit cache toujours des composants, des colorants, qui sont néfastes pour l’environnement. Evidemment, la marque n’en parlera pas dans ses publicités.
Penchons-nous d’un peu plus près sur le coton BIO que nous utilisons dans nos produits en coton.
Décryptage du coton « bio »
Il faut savoir qu’aujourd’hui deux certifications régissent l’appellation “organic coton” : Organic Content Standards (OCS) et Global Organic Textile Standard (GOTS).Pour qu’un coton biologique soit certifié comme tel, il doit suivre et obtenir de nombreux certificats avant d’atterrir dans nos magasins. Il y a d’abord ce
qu’on appelle le certificat d’exploitation. Celui-ci vise à garantir que le coton est bien cultivé d’après les normes de l’agriculture biologique. Deuxièmement, il y a le certificat opérationnel qui assure que l’entreprise est habilitée à produire du coton biologique ou du textile à base de coton biologique. Enfin, il y a ce qu’on appelle le certificat de transaction qui suit le coton organique tout au long de sa transformation.
Parlons certifications…
L’appellation « coton biologique » n’est pas une certification en lui-même ce qui peut porter à confusion lors de l’utilisation de ce terme sur des packagings, des publicités, etc. C’est pour cela qu’il faut toujours vérifier que cette inscription est vérifiée par un label officiel.
La Chaise à Guy, est une entreprise qui soutient des valeurs fortes à nos yeux notamment le zéro déchet, et le respect de l’environnement, c’est pour cela que notre coton est certifié BIO avec le label GOTS, c’est-à-dire en respectant les normes OIT. Un coton suivi du fil à la boite tout en respectant l’environnement, les conditions de travail des producteurs.
Un coton LCAG écoresponsable…[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type=”full_width_background” full_screen_row_position=”middle” column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” bg_color=”#ffffff” scene_position=”center” top_padding=”2%” constrain_group_1=”yes” bottom_padding=”2%” text_color=”dark” text_align=”left” row_border_radius=”none” row_border_radius_applies=”bg” overflow=”visible” id=”about-text” overlay_strength=”1″ gradient_direction=”left_to_right” shape_divider_position=”bottom” bg_image_animation=”none” shape_type=”” gradient_type=”default”][vc_column column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”all” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” column_position=”default” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673910948631{padding-bottom: 1.5% !important;}”]
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Le sac à goûter ou sac porte-sandwich est un accessoire très pratique destiné à ranger le goûter de vos petits bouts de chou. Facile à laver et économique, ce sac est à la portée de toutes les mamans voulant se simplifier la vie en dotant leur enfant d’un petit sac en tissu dans lequel mettre le goûter sans aucune gêne. Pour les plus grands, le sac à goûter est le meilleur moyen de se préparer un sandwich pour la pause déjeuner et de l’emporter avec soi.
Cet accessoire plus indispensable encore dans la vie de l’écolier ou de l’écolière doit être aussi spacieux que possible afin de porter tous les éléments du goûter. Néanmoins, pour plus de confort, le sac à goûter ne doit pas être encombrant et doit pouvoir facilement rentrer dans le sac à dos ou cartable.
Le sac à goûter en tissu est parfaitement en accord avec le mode de vie écologique à partir du moment où il est confectionné en coton bio. Il ne manque cependant pas de style et d’esthétique. Ces sacs existent avec de multiples coloris et motifs si bien que chacun peut se l’approprier en fonction de ses goûts et préférences personnelles.
Selon les goûts et préférences de l’enfant, plusieurs combinaisons sont possibles. Si vous êtes classique, la couleur bleue conviendra très bien aux garçons alors que la rose irest plutôt destiné à une fillette. Mais notre collection comporte de multiples autres couleurs et des motifs variés, si bien que vous pourrez facilement adopter un sac au look plus personnel. Pour être sûr de son choix, l’avis des concernés sera sans doute une bonne chose !
Les avantages liés à l’utilisation d’un sac à goûter sont nombreux et méritent votre attention. Voici 5 bonnes raisons d’en acheter un pour vos enfants ou vous-même.
Le sac à goûter promeut une alimentation plus saine et bénéfique pour l’enfant. Son utilisation préserve sa santé en limitant l’achat d’aliments d’origine industrielle ou autres produits néfastes pour la santé (junkfood…).
Le choix du sac à goûter est un geste fort qui contribue à la réduction des déchets produits chaque jour. L’enfant peut y transporter son sandwich, fruit ou goûter entre l’école et la maison. Il y a donc moins de déchets, car il n’y a plus d’achat de nourriture en sachets plastiques ou d’utilisation de sacs jetables.
Un écolier ou une écolière peut utiliser entre 5 et 9 rouleaux de papier en aluminium par an. Le sac porte-sandwich, lui, peut être réutilisé parfois pendant plusieurs saisons scolaires. Il dure longtemps et se répare très facilement en cas d’accroc avec un petit point de couture : on ne le jette pas comme on le ferait avec un autre emballage, c’est autant de déchets en moins qui encombrent les poubelles. Et enfin, lorsqu’il arrivera en fin de vie le sac à goûter en tissu pourra être facilement recyclé ou se dégradera rapidement dans la nature s’il est fabriqué en coton bio.
Vu la moyenne de papiers en aluminium utilisés par jour par chaque écolier, il paraît évident que l’école devient un véritable dépotoir de déchets. Avec le sac à goûter, l’école n’est plus remplie de déchets et devient synonyme de bon comportement environnemental.
La mise en application de ce mode de vie zéro déchet à l’école profite énormément à l’éducation des enfants. Ceux-ci sont désormais sensibilisés sur les comportements responsables à avoir pour la durabilité de la planète.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type=”full_width_background” full_screen_row_position=”middle” column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” bg_color=”#ffffff” scene_position=”center” top_padding=”2%” constrain_group_1=”yes” bottom_padding=”2%” text_color=”dark” text_align=”left” row_border_radius=”none” row_border_radius_applies=”bg” overflow=”visible” id=”about-text” overlay_strength=”1″ gradient_direction=”left_to_right” shape_divider_position=”bottom” bg_image_animation=”none” shape_type=”” gradient_type=”default”][vc_column column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”all” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” column_position=”default” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673910897535{padding-bottom: 1.5% !important;}”]
[/vc_column_text][vc_row_inner column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” text_align=”left” row_position=”default” row_position_tablet=”inherit” row_position_phone=”inherit” overflow=”visible” pointer_events=”all”][vc_column_inner column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”top-bottom” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” overflow=”visible” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673910892148{padding-right: 10% !important;}”]De nombreuses innovations sont aussi apportées pour simplifier le quotidien tout en rendant le monde moins pollué. Dans la même perspective, les entreprises de fabrication d’emballages s’évertuent de concevoir des sachets en tissu ou en papier pour substituer ceux en plastiques. La question qui se pose est de savoir s’il faut adopter le sachet papier ou celui en tissu pour ses achats.
Comme la plupart des emballages, les sachets en tissu et ceux en papier ont leurs particularités.
Comme son nom l’indique, il est fabriqué exclusivement avec du papier dur. Quelques usines confectionnent cet emballage avec du papier glacé pour empêcher l’exfiltration d’eau. Il se montre bien plus écologique que son équivalent en plastique. Les pharmacies préconisent ce genre de sachet pour emballer les médicaments et les commerces l’utilisent largement aussi, ainsi que certains supermarchés, avec des formes plus larges pour contenir assez d’articles.
Le sac en tissu est quant à lui fabriqué exclusivement avec du coton. Par rapport aux sachets en papier, sa durée de fabrication est assez longue, et son prix, un peu plus élevé. Il est aussi plus solide et dure dans le temps. De plus en plus d’hommes et de femmes adoptent le sac en tissu pour remplacer les sacs plastiques en raison de sa résistance et longévité. De nombreuses marques l’ont d’ailleurs adopté et il bénéficie désormais de looks tendance personnalisés.
Chacun des deux types de sacs est destiné à plusieurs usages.
Cette matière est utilisée par de nombreuses boutiques pour transporter les achats : vêtements, nourriture, cosmétiques et autres secteurs divers. Sur le plan écologique, sa durée d’auto- dégradation dans le sol est plus rapide que celle des autres emballages. C’est là son principal atout. La matière de base utilisée pour sa fabrication est le bois. Il est aussi possible de recycler ce sac comme la plupart des autres emballages plus d’une dizaine de fois. Du point de vue du prix, le sac en papier est très économique et accessible à tous les budgets.
Comparativement à celui en papier, le sac en coton offre plus de résilience. Il peut supporter une charge beaucoup plus importante que le sachet en papier et convient donc dans des occasions plus variées. De plus, il est possible de le recycler aussi longtemps que nécessaire et de le réutiliser pour de nombreux achats ou de nombreuses occasions. S’il est réalisé en coton bio, sa durée de dégradation est presqu’aussi courte que le sac en papier et répond parfaitement aux normes écologiques. Enfin, il se répare très facilement, avec un petit point de couture, au contraire des sacs papier ou plastique qu’il faut jeter dès qu’ils sont déchirés.
Les insuffisances de ces types de sacs sont essentiellement relatives à leur processus de fabrication et à la résistance.
Comparativement aux autres types de sacs, ce dernier est bien moins résistant à l’eau et au surplus de poids que les autres matières. Ainsi, il ne peut qu’être utilisé pour les petites courses et dans des conditions favorables. De plus, sa fabrication consomme une grande quantité d’énergie surtout par rapport au sac plastique.
Pour sa fabrication, l’emballage en coton n’en demeure pas moins gourmand en termes d’énergie. L’avantage va cette fois au sac en papier. Mais celui-ci est considérablement réduit si le sac est conçu en coton bio. C’est donc bien ce genre de sacs en tissu qu’il faut viser.
En définitive, sac en papier et en tissu possèdent tous deux des avantages intéressants et se montrent nettement plus protecteurs de l’environnement que les sacs en plastique. Le sac en papier constitue une bonne alternative en soi mais si vous comptez l’utiliser sur la durée, vous en servir par tous les temps, ou porter un poids plus conséquent, le sac en tissu se montrera nettement plus résistant et pratique.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type=”full_width_background” full_screen_row_position=”middle” column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” bg_color=”#ffffff” scene_position=”center” top_padding=”2%” constrain_group_1=”yes” bottom_padding=”2%” text_color=”dark” text_align=”left” row_border_radius=”none” row_border_radius_applies=”bg” overflow=”visible” id=”about-text” overlay_strength=”1″ gradient_direction=”left_to_right” shape_divider_position=”bottom” bg_image_animation=”none” shape_type=”” gradient_type=”default”][vc_column column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”all” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” column_position=”default” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673910849499{padding-bottom: 1.5% !important;}”]
[/vc_column_text][vc_row_inner column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” text_align=”left” row_position=”default” row_position_tablet=”inherit” row_position_phone=”inherit” overflow=”visible” pointer_events=”all”][vc_column_inner column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”top-bottom” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” overflow=”visible” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673910841817{padding-right: 10% !important;}”]Si, la plupart du temps, ce papier est issu de forêts gérés durablement (pour les papiers fabriqués en France) et recyclable, il faut bien avouer qu’une majorité de personnes jette les emballages à la poubelle sans prendre le temps de vérifier s’il peut aller dans le bac de tri. En fait, l’emballage cadeau en vrai papier peut être recyclé même s’il est recouvert d’une fine couche de plastique, vernis ou légèrement pailleté. Mais ce n’est pas le cas des emballages ayant un aspect particulièrement brillant, indéchirables, qui eux, doivent se mettre avec les ordures ménagères.
La solution est donc de bien vérifier la composition du papier-cadeau avant de l’acheter pour choisir celui qui sera effectivement recyclable. Et de prendre la peine de le mettre dans le bac de tri le lendemain de Noël.
Mais il existe une meilleure solution, qui prend le problème à la base. Une solution qui vous évite de vous poser des questions sur la composition du papier et de la destination à lui donner. Une solution qui permet de réduire les déchets, recyclables ou non.
Cette solution, c’est l’emballage cadeau en tissu ! Vous connaissez peut-être la technique du furoshiki, technique japonaise qui consiste à emballer les cadeaux dans des morceaux de tissu.
Mais il y aussi les sacs à vrac imprimés avec des motifs de Noël, en coton bio, réutilisables autant de fois que vous souhaitez. Ces sacs existent en différentes dimensions pour pouvoir y glisser un petit cadeau ou carrément s’en servir comme d’une hotte de Noël nominative ou pas. Une fois le Père Noël reparti sur son traîneau, le sac peut être rangé pour servir l’année suivante. Ou servir toute l’année pour ranger les jouets de l’heureux bénéficiaire !
Pour aller encore plus loin dans votre démarche éco-responsable, choisissez des sacs à cadeaux de Noël en coton bio certifié OEKO-TEX et fabriqués en France. D’une part, le coton bio est issu d’une agriculture raisonnée et plus respectueuse de l’environnement. D’autre part, le fait de choisir des sacs fabriqués en France vous assure une qualité supérieure car les fabricants ont à coeur de respecter des savoir-faire et des normes strictes. Vous soutenez aussi de cette façon l’emploi et l’économie nationale et vous réduisez l’impact environnemental des produits que vous achetez. En effet, il est plus logique d’acheter des produits fabriqués localement, ou, à tout le moins, dans votre pays, pour limiter les transports à travers la planète ! L’impact carbone des sacs de Noël fabriqués en France est largement inférieur à celui de sacs venant de Chine !
C’est pourquoi La Chaise à Guy vous propose de jolis sacs de Noël imprimés de motifs créés par nos graphistes. Vous pouvez choisir entre des sacs de Noël personnalisés ou non. Pour les premiers, vous indiquez le prénom du destinataire. Si vous ne savez pas encore à qui les destiner, optez pour les sacs sans prénom.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]
[vc_row type=”full_width_background” full_screen_row_position=”middle” column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” bg_color=”#ffffff” scene_position=”center” top_padding=”2%” constrain_group_1=”yes” bottom_padding=”2%” text_color=”dark” text_align=”left” row_border_radius=”none” row_border_radius_applies=”bg” overflow=”visible” id=”about-text” overlay_strength=”1″ gradient_direction=”left_to_right” shape_divider_position=”bottom” bg_image_animation=”none” shape_type=”” gradient_type=”default”][vc_column column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”all” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” column_position=”default” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673910797233{padding-bottom: 1.5% !important;}”]
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[vc_row type=”full_width_background” full_screen_row_position=”middle” column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” bg_color=”#ffffff” scene_position=”center” top_padding=”2%” constrain_group_1=”yes” bottom_padding=”2%” text_color=”dark” text_align=”left” row_border_radius=”none” row_border_radius_applies=”bg” overflow=”visible” id=”about-text” overlay_strength=”1″ gradient_direction=”left_to_right” shape_divider_position=”bottom” bg_image_animation=”none” shape_type=”” gradient_type=”default”][vc_column column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”all” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” column_position=”default” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673910401394{padding-bottom: 1.5% !important;}”]
[/vc_column_text][vc_row_inner column_margin=”default” column_direction=”default” column_direction_tablet=”default” column_direction_phone=”default” text_align=”left” row_position=”default” row_position_tablet=”inherit” row_position_phone=”inherit” overflow=”visible” pointer_events=”all”][vc_column_inner column_padding=”no-extra-padding” column_padding_tablet=”inherit” column_padding_phone=”inherit” column_padding_position=”top-bottom” column_element_direction_desktop=”default” column_element_spacing=”default” desktop_text_alignment=”default” tablet_text_alignment=”default” phone_text_alignment=”default” background_color_opacity=”1″ background_hover_color_opacity=”1″ column_backdrop_filter=”none” column_shadow=”none” column_border_radius=”none” column_link_target=”_self” overflow=”visible” gradient_direction=”left_to_right” overlay_strength=”0.3″ width=”1/1″ tablet_width_inherit=”default” animation_type=”default” bg_image_animation=”none” border_type=”simple” column_border_width=”none” column_border_style=”solid” column_padding_type=”default” gradient_type=”default”][vc_column_text css=”.vc_custom_1673910394138{padding-right: 10% !important;}”]Le monde numérique l’aura-t-il chassé de nos esprits ? Pourtant, malgré la révolution digitale, son utilisation n’a que très peu diminué. Peut-être est-il temps de relancer l’intérêt pour ce support banal qu’on oubli si facilement.
Le fondateur de la Chaise à Guy, Guy de Boissoudy apporte à l’édifice de la marque toute une expertise dans le secteur de l’impression.
Aujourd’hui nous souhaitons mettre à l’honneur ce secteur. Il s’agira de mieux comprendre ses dynamiques ainsi que les démarches responsables qui y sont à l’œuvre.
Cet article se concentrera sur l’industrie papetière et l’imprimerie et n’abordera pas la question des emballages, qui fera l’objet d’un futur dossier.
Relativement aux diverses et inquiétantes problématiques environnementales, notamment celle de la déforestation, le secteur de la papeterie et de l’imprimerie fait face à de nouveaux enjeux et doit évoluer en conséquence.
Le papier étant issu des arbres, l’industrie de la papeterie et des imprimeurs est directement confrontée au risque de déforestation. C’est pourquoi il est important d’innover afin d’œuvrer à la préservation des forêts.
L’innovation peut prendre deux formes, à la fois au niveau de la gestion des forêts, mais aussi en termes de matériaux qui se substitueraient au bois.
La chaîne de valeur du secteur est composée de nombreux intermédiaires, d’où la difficulté de la traçabilité du produit final.
Depuis le bois jusqu’au client, chaque ramette, carte de visite ou autre va passer par de multiples étapes et différents prestataires. Pour garantir au client que son produit aura été respectueux des normes à toutes les étapes de sa transformation, il est nécessaire de mettre en place des systèmes de traçabilité performant et sûrs.
Certains procédés relatifs à la transformation du papier ont un impact négatif sur le bilan carbone du produit final. Par exemple le blanchissement, constitue une étape particulièrement polluante.
L’usage de produits chimiques et la question des émissions de C.O.V (les composés organiques volatils) sont des questions sur lesquelles l’industrie doit se pencher. Il est urgent de proposer des solutions plus respectueuses de l’environnement.
Les nouvelles normes émergentes doivent êtres appliquées par tous les acteurs de l’industrie. En effet, il s’agit d’avoir un impact global pour que l’impression devienne responsable. De plus, il ne faudrait pas créer un déséquilibre ou une concurrence déloyale au niveau des prix par des industriels peu regardant sur les enjeux environnementaux.
Le papier recyclé est considéré comme tel dès lors qu’il est composé d’au moins 50% de fibres provenant de déchets de papiers imprimés.
Les déchets de papiers imprimés peuvent avoir différentes provenances et différents niveaux de qualités. La proportion fibre recyclée/fibre vierge n’est pas toujours la même. Ces variables rendent la dimension écologique de l’objet variable.
En effet le papier le plus “écologique” sera celui composé à 100% de fibres recyclées, non désencré, non blanchi et produit en intégralité à proximité du consommateur final. Or, de nombreux papiers recyclés sont composés à seulement 50/70% de fibres recyclés, et nécessitent l’utilisation de produits chimiques pour le désencrage et le blanchissement des feuilles.
L’intégration de déchets de papiers dans la fabrication de la pâte permet de réduire l’impact écologique à de nombreux niveaux.
Le papier recyclé réduit :
Il faut toutefois noter que le papier se dégrade à chaque recyclage, les fibres se raccourcissent, et cela le rend plus fragile. Alors, la couleur obtenue sera de moins en moins blanche.
La question de la blancheur du papier amène d’ailleurs à une autre problématique : celle des méthodes employées pour le blanchissement du papier. Afin de chasser la lignine, molécule présente dans le bois qui est responsable du jaunissement, l’industrie papetière emploie des produits chlorés.
C’est finalement le blanchiment qui est l’étape la plus polluante du processus de fabrication du papier. Encore trop peu d’industriels usent de produits sans chlore (TCF “Totally Chlorine Free” et ECF “Elementary Chlorine Free”). Il s’agit pourtant d’une alternative plus responsable et nécessaire à la réduction de l’impact du processus.
Dans le cadre du recyclage du papier, rendre le papier blanc est d’autant plus compliqué. L’étape du désencrage des fibres de papier nécessite également l’usage de produits chimiques. Cette étape de désencrage laisse place à des “boues” de désencrage qui constituent donc un nouveau déchet généré par l’industrie.
Les usines du groupe papetier Arjowiggins étaient les seuls en France à proposer un type de papier recyclé à l’usage de l’édition et de la bureautique. En 2019 ces usines ont arrêté leur activité.
Désormais les éditeurs et autres acteurs concernés en France devront se tourner vers des fournisseurs allemand ou autrichien. En plus du drame social induit, cela signifie que pour continuer à employer un papier recyclé les entreprises concernées devront paradoxalement se tourner vers un circuit plus long. Cela participera donc à augmenter le bilan carbone du produit final.
Pour en savoir plus vous pouvez consulter l’article que reporterre.net a partagé sur le sujet.
Un autre phénomène participe à augmenter le bilan carbone des papiers mais aussi cartons et emballages recyclés. C’est celui du transport vers la transformation.
En effet la France ne dispose pas de suffisamment de capacité industrielle pour recycler l’intégralités des papiers qui sont récupérés. Ainsi environ 35% des déchets papier et carton sont vendus ailleurs en Europe, ce qui leur fait parcourir une distance non négligeable.
La nécessité de rendre l’impression responsable a donné lieu à de nombreux labels. Ceux-ci sont en concurrence les uns avec des autres et ne proposent pas le même cahier des charges.
“La marque Imprim’Vert® a pour objectif de favoriser la mise en place par les entreprises exerçant des activités d’impression, d’actions concrètes conduisant à une diminution des impacts de l’activité sur l’environnement.”
Le label met en avant cinq critères principaux que doivent respecter les industriels afin d’être éligible au réseau. Il y a tout d’abord celui de l’élimination conforme des déchets dangereux, puis celui de la sécurisation des stockages de liquides dangereux et également la non-utilisation de produit toxique. Ensuite, les entreprises doivent mettre en place une sensibilisation environnementale auprès des salariés et de la clientèle. Enfin, l’entreprise doit fournir le suivi des consommations énergétiques de son ou ses sites.
Ce dernier point veut permettre la sensibilisation de l’entreprise à sa consommation énergétique. Néanmoins il apparaît qu’un tel critère n’est que très peu sélectif concernant les actions réelles mises en place par les entreprises.
Le Forest Stewardship Council (ou FSC) est l’un des labels les plus employés dans le secteur de l’impression. Les éditeurs voire même les groupes d’édition comme Madrigall l’utilisent.
L’engagement de FSC réside dans la gestion durable des forêts. Ils apportent une expertise dans cette gestion responsable. Cela relève pour eux d’un impératif écologique mais revêt également une dimension sociale avec le respect des collaborateurs impliqués dans l’industrie du papier.
FSC est donc à la fois une structure de conseil et un organisme certifiant. Cela leur permet d’accompagner les entreprises désirant être certifiées dans leur démarche. La certification FSC est accordée après un audit approfondi.
On comprend donc que le label FSC se concentre sur l’enjeu de la durabilité des forêts et non sur celui des rejets chimiques ou de la consommation d’eau de l’industrie papetière.
L’organisme PEFC se présente également comme un “Gardien de l’équilibre forestier”. Alors que FSC a une envergure internationale, PEFC se concentre sur la France. Il garantit les pratiques durables de 70 000 propriétaires forestiers et plus de 3000 entreprises en France. PEFC s’implique dans la protection de la biodiversité. Il s’intéresse aussi aux humains qui travaillent et se promènent dans les forêts, et enfin, à la “gestion raisonnée de la ressource bois”.
Cette concurrence entre organismes de certification, qui n’ont pour les séparer que des conflits d’intérêts et quelques subtiles nuances, sert peu l’industrie. Le consommateur se perd entre les labels et fini par les considérer comme un acquis et non comme une valeur ajoutée dotée d’un véritable impact.
L’impression responsable nécessite une prise de conscience, une attention aux détails de provenance, et aux transports. La marge d’amélioration est immense. Alors, de nombreuses innovations voient le jour afin de participer à rendre l’industrie plus verte.
Le papier en lui même constitue un terrain d’expérimentation important. En effet le support de l’impression porte de nombreuses problématiques auxquelles des innovations peuvent répondre.
La protection de nos forêts fait partie des enjeux principaux de l’industrie du papier. C’est pourquoi une gestion durable de celle-ci est essentielle. Mais en parallèle de ces efforts, il s’agit également pour l’industrie papetière de réfléchir à de nouvelle façon de produire du papier sans recourir à l’utilisation de bois. Ces dernières années de nombreux types de papiers sans arbres ont vu le jour.
Le papier bagasse provient d’un résidu de canne à sucre. Ce résidu est souvent brûlé ou enfoui mais il s’avère qu’il peut être employé pour fabriquer de la pâte à papier. Ce papier évite donc l’utilisation d’arbre. Il permet également de valoriser un déchet qui jusqu’ici était totalement inexploité.
Le Shiro Alga Carta est un papier insolite fabriqué à partir d’algues vertes bretonnes. Celui-ci également permet de valoriser une ressource disponible et non exploitée qui en proliférant sur les plages bretonnes met en danger la biodiversité locale.
Algues vertes en Bretagne – France Info
On trouve aussi des papiers à base de fibres de bambou, d’herbe ou encore de lait.
Ces papiers sans arbres présentent des solutions intéressantes. Cependant, la mention sans arbre peut-être parfois exagérée car la pâte à papier pourra être partiellement constituée de fibres d’arbres. Par ailleurs, ces innovations étant récentes et peu employées il est encore malaisé d’estimer le véritable impact écologique de leur production.
L’utilisation des arbres est un point important, mais les questions de transports, de produits chimiques ou de la consommation d’eau demeurent et méritent d’être étudiées.
Papier Ensemencé – papierensemencé.fr
Le papier ensemencé constitue l’une des dernières innovation en matière de papier. Il s’agit d’un papier recyclé dans lequel aura été intégré les des graines de fleurs ou autres légumes. Ce papier est 100% bio dégradable et donne vie à de nouvelles plantes. Il devient de plus en plus populaire auprès des particuliers, idéal pour des cartes d’anniversaire ou autre faire-part.
Mais c’est surtout auprès des professionnels qu’il a du succès. Que ce soit pour des cartes de visites ou des flyers, il permet de continuer à réaliser une communication physique tout en ayant un impact écologique positif et une image plus verte.
Une fois la question du support papier pris en charge, il s’agit également de s’attaquer à celle des produits qui y sont appliqués. L’impression responsable doit passer par un remaniement des produits employés.
Les encres végétales offrent une alternative aux encres minérales à base d’hydrocarbures. Elles sont fabriquées à base de matières premières renouvelables et contiennent principalement des huiles végétales (lin, soja, colza, tournesol, maïs…).
Les pigments demeurent des additifs et produits de synthèses mais sont néanmoins biodégradables. Ces encres végétales offrent des couleurs brillantes, et, bien entendu, un impact sur l’environnement plus réduit et un recyclage facilité.
Cependant, si on prend en compte l’intégralité de la chaîne et toutes les problématiques environnementales leur utilisation n’est pas si évidente. Comme pour le papier recyclé la question de la provenance et donc des transports se pose.
Ainsi employer l’encre végétale permet l’obtention d’une impression plus responsable, mais elle aussi doit s’accompagner de recherches sur la provenance.
CTP signifie “Computer To Plate”, littéralement “de l’ordinateur à la plaque”. Ces plaques sont utilisées dans le procédé d’impression offset. Ce procédé implique un travail sur la plaque qui le plus souvent nécessite l’emploi de produits chimiques (fixateurs et révélateurs) en grande quantité.
Réaliser le CTP sans chimie c’est économiser des litres de produits chimiques et des litres d’eau.
Pour limiter l’utilisation de produits chimiques, il est possible d’employer de la gomme arabique, qui provient de la sève d’arbres de la famille des Acacias. On comprend donc qu’à nouveau, la question de la gestion responsable des forêts doit être prise en compte.
En tant que particulier et dans le cadre de l’utilisation de sa propre imprimante, nous sommes confrontés aux déchets de cartouches de toner, cartouches d’encre, dont on nous apprend à nous méfier. Il s’agit de disposer de ces déchets de façon respectueuse, en triant dans les poubelles adaptées à l’instar des piles ou des ampoules.
Pour les professionnels la tâche est d’une grande importance. En plus de la question immédiate de respect de l’environnement, il s’agit également d’apprendre à valoriser ces déchets d’encre et de cartouche qui autrement se retrouvent perdus. La valorisation des cartouches peut prendre la forme d’une réutilisation des cartouches vides. Il est également possible de récupérer l’énergie des encres en passant par une incinération.
L’éventail d’innovations dans l’industrie papetière et dans l’impression est très large. Il y a de nombreuses opportunités à saisir en matière de matériaux, de procédés et d’organisation. Toutefois toutes ces avancées restent souvent trop marginales, peu employées, et dès lors, n’ont pas de réel impact sur le secteur.
Les éditeurs sont parmi les premiers consommateurs de papier. Malgré la révolution du numérique, le papier garde une place de choix dans le cœur des lecteurs. Toutefois pour la plupart d’entre eux il est important d’en savoir plus sur l’impact de leurs livres.
Le SNE (Syndicat National de l’Edition) a publié un rapport sur la consommation de papier des éditeurs français entre 2013 et 2016. L’une des premières observations est qu’en 2016, 93% du papier acheté est soit certifié PEFC, FSC, ou recyclé.
Les grands groupes d’édition sont les premiers à agir en matière de responsabilité relativement à leur consommation de papier. Contre toute attente aujourd’hui ce sont les plus petits éditeurs qu’il s’agit de sensibiliser à la démarche.
Si en termes de provenance l’industrie du livre a réagi, c’est en matière de déchets que de grands progrès restent à réaliser. Les livres qui sont destinés au pilon sont trop nombreux, et il est important de trouver des solutions pour empêcher cette destruction considérable de papier.
Aujourd’hui des innovations en matière de gestions de stock permettent d’agir face à ces pertes. Depuis 2017 l’entité de distribution Interforum, liée au groupe Editis, emploi un système d’impression à la commande Copernics qui agit dans ce sens. Le système Copernics offre une impression réactive pour permettre aux librairies de répondre aux attentes de leurs clients, sans produire un excédent de stock.
Par ailleurs, le même groupe Editis tâche de récupérer et recycler son papier, mais aussi ses emballages cartons et ses palettes.
Au terme de cet article, on observe que l’étendu des problématiques environnementales liées à l’industrie papetière est très large.
En matière d’impression responsable, il y a de nombreux points de vigilances, mais également de nombreux domaines dans lesquels innover. Depuis la gestion des forêts jusqu’au pilonnage des invendus de libraires, en passant par de nouvelles matières premières et la valorisation des déchets. L’impression responsable sera possible, dès lors que l’on prendra en compte tous ces aspects.
Les certifications et labels sur le papier apportent une certaine validation aux consommateurs mais il est toutefois difficile d’avoir une visibilité sur l’intégralité de la chaîne. Il existe quelques initiatives individuelles de la part d’entreprises qui optent pour une importante transparence relative à leur production.
Mais on ne voit pas émerger d’initiative collective en faveur d’une action globale de réduction d’impact environnemental.
Une telle action pourrait prendre la forme d’une redynamisation écologique collective de l’industrie papetière française. Il pourrait s’agir de mettre en avant la fabrication de papier locale, les provenances responsables, et les actions menées en termes de valorisation de déchets. Mais pour qu’une telle action prenne place il faudrait en premier lieu que ce secteur oublié soit remis en avant.
N’hésitez pas à nous faire part de vos impressions sur le sujet, ou à proposer de nouvelles approches pour une industrie papetière plus responsable.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]
