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La question du papier ne suscite aujourd’hui guère d’intérêt, que ce soit de la part des médias ou les individus. On ne trouve que très peu d’articles récents sur cette industrie et les innovations en matière d’impression responsable. Le sujet du papier recyclé par exemple, a totalement disparu des radars. 

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Le fondateur de la Chaise à Guy, Guy de Boissoudy apporte à l’édifice de la marque toute une expertise dans le secteur de l’impression.

Aujourd’hui nous souhaitons mettre à l’honneur ce secteur. Il s’agira de mieux comprendre ses dynamiques ainsi que les démarches responsables qui y sont à l’œuvre.

Cet article se concentrera sur l’industrie papetière et l’imprimerie et n’abordera pas la question des emballages, qui fera l’objet d’un futur dossier. 

Les enjeux principaux du secteur papetier et de l’impression

Relativement aux diverses et inquiétantes problématiques environnementales, notamment celle de la déforestation, le secteur de la papeterie et de l’imprimerie fait face à de nouveaux enjeux et doit évoluer en conséquence.

Le papier étant issu des arbres, l’industrie de la papeterie et des imprimeurs est directement confrontée au risque de déforestation. C’est pourquoi il est important d’innover afin d’œuvrer à la préservation des forêts.

L’innovation peut prendre deux formes, à la fois au niveau de la gestion des forêts, mais aussi en termes de matériaux qui se substitueraient au bois.

La chaîne de valeur du secteur est composée de nombreux intermédiaires, d’où la difficulté de la traçabilité du produit final.

Depuis le bois jusqu’au client, chaque ramette, carte de visite ou autre va passer par de multiples étapes et différents prestataires. Pour garantir au client que son produit aura été respectueux des normes à toutes les étapes de sa transformation, il est nécessaire de mettre en place des systèmes de traçabilité performant et sûrs.  

Certains procédés relatifs à la transformation du papier ont un impact négatif sur le bilan carbone du produit final. Par exemple le blanchissement, constitue une étape particulièrement polluante.

L’usage de produits chimiques et la question des émissions de C.O.V (les composés organiques volatils) sont des questions sur lesquelles l’industrie doit se pencher. Il est urgent de proposer des solutions plus respectueuses de l’environnement.

Les nouvelles normes émergentes doivent êtres appliquées par tous les acteurs de l’industrie. En effet, il s’agit d’avoir un impact global pour que l’impression devienne responsable. De plus, il ne faudrait pas créer un déséquilibre ou une concurrence déloyale au niveau des prix par des industriels peu regardant sur les enjeux environnementaux.

Le papier recyclé : la solution toute trouvée ?

Le papier recyclé est considéré comme tel dès lors qu’il est composé d’au moins 50% de fibres provenant de déchets de papiers imprimés.L'impression responsable

Les déchets de papiers imprimés peuvent avoir différentes provenances et différents niveaux de qualités. La proportion fibre recyclée/fibre vierge n’est pas toujours la même. Ces variables rendent la dimension écologique de l’objet variable.  

En effet le papier le plus “écologique” sera celui composé à 100% de fibres recyclées, non désencré, non blanchi et produit en intégralité à proximité du consommateur final. Or, de nombreux papiers recyclés sont composés à seulement 50/70% de fibres recyclés, et nécessitent l’utilisation de produits chimiques pour le désencrage et le blanchissement des feuilles.

Le papier recyclé est-il parfaitement écologique ?

L’intégration de déchets de papiers dans la fabrication de la pâte permet de réduire l’impact écologique à de nombreux niveaux.

Le papier recyclé réduit :

Il faut toutefois noter que le papier se dégrade à chaque recyclage, les fibres se raccourcissent, et cela le rend plus fragile. Alors, la couleur obtenue sera de moins en moins blanche.

La question de la blancheur du papier amène d’ailleurs à une autre problématique : celle des méthodes employées pour le blanchissement du papier.  Afin de chasser la lignine, molécule présente dans le bois qui est responsable du jaunissement, l’industrie papetière emploie des produits chlorés.

C’est finalement le blanchiment qui est l’étape la plus polluante du processus de fabrication du papier. Encore trop peu d’industriels usent de produits sans chlore (TCF “Totally Chlorine Free” et ECF “Elementary Chlorine Free”). Il s’agit pourtant d’une alternative plus responsable et nécessaire à la réduction de l’impact du processus.

Dans le cadre du recyclage du papier, rendre le papier blanc est d’autant plus compliqué. L’étape du désencrage des fibres de papier nécessite également l’usage de produits chimiques. Cette étape de désencrage laisse place à des “boues” de désencrage qui constituent donc un nouveau déchet généré par l’industrie.

Quelle est l’actualité du papier recyclé en France ? 

Les usines du groupe papetier Arjowiggins étaient les seuls en France à proposer un type de papier recyclé à l’usage de l’édition et de la bureautique. En 2019 ces usines ont arrêté leur activité.

Désormais les éditeurs et autres acteurs concernés en France devront se tourner vers des fournisseurs allemand ou autrichien. En plus du drame social induit, cela signifie que pour continuer à employer un papier recyclé les entreprises concernées devront paradoxalement se tourner vers un circuit plus long. Cela participera donc à augmenter le bilan carbone du produit final.

Pour en savoir plus vous pouvez consulter l’article que reporterre.net a partagé sur le sujet.

Un autre phénomène participe à augmenter le bilan carbone des papiers mais aussi cartons et emballages recyclés. C’est celui du transport vers la transformation.

En effet la France ne dispose pas de suffisamment de capacité industrielle pour recycler l’intégralités des papiers qui sont récupérés. Ainsi environ 35% des déchets papier et carton sont vendus ailleurs en Europe, ce qui leur fait parcourir une distance non négligeable.

 

La guerre des labels de papier responsable

La nécessité de rendre l’impression responsable a donné lieu à de nombreux labels. Ceux-ci sont en concurrence les uns avec des autres et ne proposent pas le même cahier des charges.

 

 

“La marque Imprim’Vert® a pour objectif de favoriser la mise en place par les entreprises exerçant des activités d’impression, d’actions concrètes conduisant à une diminution des impacts de l’activité sur l’environnement.”  

Le label met en avant cinq critères principaux que doivent respecter les industriels afin d’être éligible au réseau. Il y a tout d’abord celui de l’élimination conforme des déchets dangereux, puis celui de la sécurisation des stockages de liquides dangereux et également la non-utilisation de produit toxique. Ensuite, les entreprises doivent mettre en place une sensibilisation environnementale auprès des salariés et de la clientèle. Enfin, l’entreprise doit fournir le suivi des consommations énergétiques de son ou ses sites.

Ce dernier point veut permettre la sensibilisation de l’entreprise à sa consommation énergétique. Néanmoins il apparaît qu’un tel critère n’est que très peu sélectif concernant les actions réelles mises en place par les entreprises.

Le Forest Stewardship Council (ou FSC) est l’un des labels les plus employés dans le secteur de l’impression.  Les éditeurs voire même les groupes d’édition comme Madrigall l’utilisent.

L’engagement de FSC réside dans la gestion durable des forêts. Ils apportent une expertise dans cette gestion responsable. Cela relève pour eux d’un impératif écologique mais revêt également une dimension sociale avec le respect des collaborateurs impliqués dans l’industrie du papier.

FSC est donc à la fois une structure de conseil et un organisme certifiant. Cela leur permet d’accompagner les entreprises désirant être certifiées dans leur démarche. La certification FSC est accordée après un audit approfondi.

On comprend donc que le label FSC se concentre sur l’enjeu de la durabilité des forêts et non sur celui des rejets chimiques ou de la consommation d’eau de l’industrie papetière.

L’organisme PEFC se présente également comme un “Gardien de l’équilibre forestier”. Alors que FSC a une envergure internationale, PEFC se concentre sur la France. Il garantit les pratiques durables de 70 000 propriétaires forestiers et plus de 3000 entreprises en France. PEFC s’implique dans la protection de la biodiversité. Il s’intéresse aussi aux humains qui travaillent et se promènent dans les forêts, et enfin, à la “gestion raisonnée de la ressource bois”.

 

Cette concurrence entre organismes de certification, qui n’ont pour les séparer que des conflits d’intérêts et quelques subtiles nuances, sert peu l’industrie. Le consommateur se perd entre les labels et fini par les considérer comme un acquis et non comme une valeur ajoutée dotée d’un véritable impact.  

 

Des innovations dans la papeterie et l’impression

L’impression responsable nécessite une prise de conscience, une attention aux détails de provenance, et aux transports. La marge d’amélioration est immense. Alors, de nombreuses innovations voient le jour afin de participer à rendre l’industrie plus verte.

Les innovations en matière de papier

Le papier en lui même constitue un terrain d’expérimentation important. En effet le support de l’impression porte de nombreuses problématiques auxquelles des innovations peuvent répondre.

La protection de nos forêts fait partie des enjeux principaux de l’industrie du papier. C’est pourquoi une gestion durable de celle-ci est essentielle. Mais en parallèle de ces efforts, il s’agit également pour l’industrie papetière de réfléchir à de nouvelle façon de produire du papier sans recourir à l’utilisation de bois. Ces dernières années de nombreux types de papiers sans arbres ont vu le jour.

Le papier bagasse provient d’un résidu de canne à sucre. Ce résidu est souvent brûlé ou enfoui mais il s’avère qu’il peut être employé pour fabriquer de la pâte à papier. Ce papier évite donc l’utilisation d’arbre. Il permet également de valoriser un déchet qui jusqu’ici était totalement inexploité.

Le Shiro Alga Carta est un papier insolite fabriqué à partir d’algues vertes bretonnes. Celui-ci également permet de valoriser une ressource disponible et non exploitée qui en proliférant sur les plages bretonnes met en danger la biodiversité locale.

 

Algues Vertes en Bretagne

Algues vertes en Bretagne – France Info

On trouve aussi des papiers à base de fibres de bambou, d’herbe ou encore de lait.

Ces papiers sans arbres présentent des solutions intéressantes. Cependant, la mention sans arbre peut-être parfois exagérée car la pâte à papier pourra être partiellement constituée de fibres d’arbres. Par ailleurs, ces innovations étant récentes et peu employées il est encore malaisé d’estimer le véritable impact écologique de leur production.

L’utilisation des arbres est un point important, mais les questions de transports, de produits chimiques ou de la consommation d’eau demeurent et méritent d’être étudiées.

 

L'impression responsable

Papier Ensemencé – papierensemencé.fr

Le papier ensemencé constitue l’une des dernières innovation en matière de papier. Il s’agit d’un papier recyclé dans lequel aura été intégré les des graines de fleurs ou autres légumes. Ce papier est 100% bio dégradable et donne vie à de nouvelles plantes. Il devient de plus en plus populaire auprès des particuliers, idéal pour des cartes d’anniversaire ou autre faire-part.

Mais c’est surtout auprès des professionnels qu’il a du succès. Que ce soit pour des cartes de visites ou des flyers, il permet de continuer à réaliser une communication physique tout en ayant un impact écologique positif et une image plus verte.

 

Les innovations en matière d’impression responsable

Une fois la question du support papier pris en charge, il s’agit également de s’attaquer à celle des produits qui y sont appliqués. L’impression responsable doit passer par un remaniement des produits employés.

Les encres végétales offrent une alternative aux encres minérales à base d’hydrocarbures. Elles sont fabriquées à base de matières premières renouvelables et contiennent principalement des huiles végétales (lin, soja, colza, tournesol, maïs…).

Les pigments demeurent des additifs et produits de synthèses mais sont néanmoins biodégradables. Ces encres végétales offrent des couleurs brillantes, et, bien entendu, un impact sur l’environnement plus réduit et un recyclage facilité.

Cependant, si on prend en compte l’intégralité de la chaîne et toutes les problématiques environnementales leur utilisation n’est pas si évidente. Comme pour le papier recyclé la question de la provenance et donc des transports se pose.

Ainsi employer l’encre végétale permet l’obtention d’une impression plus responsable, mais elle aussi doit s’accompagner de recherches sur la provenance.  

CTP signifie “Computer To Plate”, littéralement “de l’ordinateur à la plaque”. Ces plaques sont utilisées dans le procédé d’impression offset. Ce procédé implique un travail sur la plaque qui le plus souvent nécessite l’emploi de produits chimiques (fixateurs et révélateurs) en grande quantité.

Réaliser le CTP sans chimie c’est économiser des litres de produits chimiques et des litres d’eau.

Pour limiter l’utilisation de produits chimiques, il est possible d’employer de la gomme arabique, qui provient de la sève d’arbres de la famille des Acacias. On comprend donc qu’à nouveau, la question de la gestion responsable des forêts doit être prise en compte.  

En tant que particulier et dans le cadre de l’utilisation de sa propre imprimante, nous sommes confrontés aux déchets de cartouches de toner, cartouches d’encre, dont on nous apprend à nous méfier. Il s’agit de disposer de ces déchets de façon respectueuse, en triant dans les poubelles adaptées à l’instar des piles ou des ampoules.

Pour les professionnels la tâche est d’une grande importance. En plus de la question immédiate de respect de l’environnement, il s’agit également d’apprendre à valoriser ces déchets d’encre et de cartouche qui autrement se retrouvent perdus. La valorisation des cartouches peut prendre la forme d’une réutilisation des cartouches vides. Il est également possible de récupérer l’énergie des encres en passant par une incinération.

 

L’éventail d’innovations dans l’industrie papetière et dans l’impression est très large. Il y a de nombreuses opportunités à saisir en matière de matériaux, de procédés et d’organisation. Toutefois toutes ces avancées restent souvent trop marginales, peu employées, et dès lors, n’ont pas de réel impact sur le secteur.

L’impression responsable dans l’industrie du livre

Les éditeurs sont parmi les premiers consommateurs de papier. Malgré la révolution du numérique, le papier garde une place de choix dans le cœur des lecteurs. Toutefois pour la plupart d’entre eux il est important d’en savoir plus sur l’impact de leurs livres.L'impression responsable

Le SNE (Syndicat National de l’Edition) a publié un rapport sur la consommation de papier des éditeurs français entre 2013 et 2016. L’une des premières observations est qu’en 2016, 93% du papier acheté est soit certifié PEFC, FSC, ou recyclé.

Les grands groupes d’édition sont les premiers à agir en matière de responsabilité relativement à leur consommation de papier. Contre toute attente aujourd’hui ce sont les plus petits éditeurs qu’il s’agit de sensibiliser à la démarche.

Si en termes de provenance l’industrie du livre a réagi, c’est en matière de déchets que de grands progrès restent à réaliser. Les livres qui sont destinés au pilon sont trop nombreux, et il est important de trouver des solutions pour empêcher cette destruction considérable de papier.

Aujourd’hui des innovations en matière de gestions de stock permettent d’agir face à ces pertes.  Depuis 2017 l’entité de distribution Interforum, liée au groupe Editis, emploi un système d’impression à la commande Copernics qui agit dans ce sens.  Le système Copernics offre une impression réactive pour permettre aux librairies de répondre aux attentes de leurs clients, sans produire un excédent de stock.

Par ailleurs, le même groupe Editis tâche de récupérer et recycler son papier, mais aussi ses emballages cartons et ses palettes.

 

Quelle conclusion sur l’impression responsable ?

Au terme de cet article, on observe que l’étendu des problématiques environnementales liées à l’industrie papetière est très large.

En matière d’impression responsable, il y a de nombreux points de vigilances, mais également de nombreux domaines dans lesquels innover. Depuis la gestion des forêts jusqu’au pilonnage des invendus de libraires, en passant par de nouvelles matières premières et la valorisation des déchets. L’impression responsable sera possible, dès lors que l’on prendra en compte tous ces aspects. 

Les certifications et labels sur le papier apportent une certaine validation aux consommateurs mais il est toutefois difficile d’avoir une visibilité sur l’intégralité de la chaîne. Il existe quelques initiatives individuelles de la part d’entreprises qui optent pour une importante transparence relative à leur production.

Mais on ne voit pas émerger d’initiative collective en faveur d’une action globale de réduction d’impact environnemental.

Une telle action pourrait prendre la forme d’une redynamisation écologique collective de l’industrie papetière française. Il pourrait s’agir de mettre en avant la fabrication de papier locale, les provenances responsables, et les actions menées en termes de valorisation de déchets. Mais pour qu’une telle action prenne place il faudrait en premier lieu que ce secteur oublié soit remis en avant.

N’hésitez pas à nous faire part de vos impressions sur le sujet, ou à proposer de nouvelles approches pour une industrie papetière plus responsable.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]

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