Depuis le premier transat il s’en est passé des choses… Car nous évoluons et nous grandissons, mais nos valeurs fondamentales restent les mêmes.
Le savoir-faire, la bonne humeur et comme toute grande histoire qui se respecte : l’amour.
L’amour parce que la Chaise à Guy, c’est avant tout l’histoire de ses créateurs. Guy et Marie se sont lancés à deux dans cette aventure en y mêlant leur expertise, leur héritage et leur personnalité.
Guy est expert dans l’art de présenter l’écrit et l’image. Fondateur et directeur de Chromaprint, il propose des impressions pour les PME et groupes internationaux.
Marie, de son côté, est diplômée de l’Ecole de la Mode. Elle est la digne héritière d’un savoir-faire traditionnel. Sa famille excelle depuis plusieurs générations dans la fabrication de vêtements hauts de gamme.
Alors c’est ensemble qu’ils ont élaboré des produits alliant une grande qualité textile et d’impression. Leur idée phare : une marque française qui propose des objets du quotidien solides et élégants avec l’opportunité pour les clients de personnaliser leurs produits.
La Chaise à Guy cherche à valoriser le savoir-faire local. En effet il nous semble important de réduire les distances bien trop longues dans la production textile. Par ailleurs, notre marque s’efforce d’employer des matières premières issues d’industries françaises. Nous fabriquons des produits dans notre atelier nantais non loin d’un superbe éléphant.
Enfin, la question de la personnalisation est également l’une des fortes valeurs ajoutées de la marque. Cela donne une chance aux particuliers comme aux professionnels de créer un produit à leur image, ou d’offrir des cadeaux originaux.
La bonne humeur de la Chaise à Guy, c’est déjà celle de Guy et Marie. Depuis l’atelier et le bureau, la musique et la radio battent leur plein tandis que les rires et les idées fusent tout au long de la journée.
L’espace dispose même d’un îlot vacances, doté de nombreux transats, icône historique de notre marque. Tous les collaborateurs en profitent au quotidien pour se relaxer. Ici tout le monde déjeune comme sur la plage. Pourquoi s’embêter avec des chaises ennuyeuses quand on peut chiller sur sa chilienne toute l’année ?
La bonne humeur de nos fondateurs se retrouve dans nos produits. Vous y retrouverez à tous les coups l’esprit la Chaise à Guy. Notre objectif principal, c’est vous aider à retrouver le sourire – au cas où vous l’auriez perdu.
Un transat avec des gambettes ? Un cerf fleuri sur un tote-bag ? Un chat mignon sur un t-shirt ? Made in la Chaise à Guy.
Les modèles conçus par notre graphiste Kris amènent chacun à leur façon le grain de sel la Chaise à Guy. De l’humour, de la joie et des touches d’esprit qui nous représentent et nous animent dans notre besogne.
Toute l’équipe a à cœur de verser dans chaque expérience proposée les ingrédients de la maison. On vous l’a dit et on le répète, le savoir-faire, la bonne humeur et l’amour.
C’est aussi parce qu’on y met beaucoup d’amour et que l’on s’inquiète pour vous que l’on se remet en question. A ce propos, n’hésitez pas à consulter notre article sur la Chaise à Guy et le Covid-19.
Nous sommes à votre écoute et à celle des problématiques de notre époque. Ce dernier point est important, car il nous permet de nous renouveler et de vous proposer des produits de qualité, adaptés à un mode de vie positif et responsable. Et ce, toujours dans la joie et la bonne humeur qui nous caractérisent.
Maintenant que vous en savez plus sur l’histoire de la Chaise à Guy, n’hésitez pas à suivre l’actualité de notre marque, de bien jolies choses sont en route et nous avons hâte de recevoir vos avis.
En effet le Covid-19 et son impact sur notre société soulèvent de nombreuses problématiques. La Chaise à Guy ne fait pas exception, et nous avons tiré des enseignements importants de la situation actuelle.
Comme d’autres, pendant la crise, nous avons adapté notre production à la fabrication de masques afin de pouvoir proposer le modèle grand public en vente.
Nous avons réalisé cette démarche en accord avec les valeurs de la marque. Nous avons tâché de proposer de nombreux imprimés véhiculant de l’humour et de la bonne humeur.
L’impact du Covid-19 sur nos modes de vies est immense. La distanciation sociale et le port du masque exigent une adaptation de nos rapports humains. Les embrassades sont proscrites, les sourires sont cachés…
Avec nos masques hauts en couleurs, nous essayons à notre façon d’apporter un peu de chaleur et de joie dans vos interactions de tous les jours.
Afin d’allier notre démarche de bonne humeur à une action positive, nous reversons depuis le 20 juillet 1€ sur chaque masque vendu à notre partenaire Le Rire Médecin.
Depuis près de 30 ans, Le Rire Médecin redonne aux enfants hospitalisés le pouvoir de jouer et de rire pour mieux faire face à la maladie. Intervenant dans 47 services pédiatriques, les 102 comédiens-clowns professionnels de l’association offrent chaque année près de 83 000 spectacles personnalisés aux enfants, à leur famille et aux soignants.
Enfin notre masque s’inscrit dans une démarche de consommation responsable. Les masques à usages uniques ont déjà commencé à polluer l’espace public et l’environnement. Le compte Instagram Masque à Terre, nous confronte chaque jour à l’absurdité de ces déchets.
Chaque citoyen a une responsabilité dans la protection d’autrui, mais aussi dans celle de l’environnement. Les masques réutilisables permettent à tous d’agir de manière plus respectueuse.
Les commerçants et restaurateurs pour qui le port du masque est désormais indispensable sont particulièrement affectés par la distanciation sociale. Ainsi notre offre de personnalisation de masques peut permettre aux professionnels d’adapter cet objet à l’image de leur entreprise.
Pour la fabrication de nos masques nous avons relancé notre effort de production 100% française, depuis les fournisseurs de tissus, jusqu’à notre fabrication et notre impression.
Avec l’impact du Covid-19 sur les échanges à l’international, nous avons plus que jamais conscience de l’importance de la réduction des distances. Nous souhaitons nous attaquer à celle qui sépare le fournisseur de matière première des ateliers, et celle de l’atelier des clients.
Nous réalisons notre gamme de sacs et de pochettes à partir de tissus produits en France. Ces produits sont ensuite fabriqués puis imprimés dans notre atelier.
En plus de réduire les distances pour diminuer l’impact écologique, fabriquer localement nous permet de valoriser le savoir-faire de nos voisins.
Dans notre atelier, Marie orchestre la couture et l’impression avec brio et douceur, tout en se cultivant avec France Inter…
Notre réflexion porte désormais sur l’impact de notre production, mais aussi de nos produits en eux-mêmes. En effet nous tenons à apporter notre pierre à l’édifice du monde de demain. Et ce monde là, nous en sommes convaincus, doit être bâti sur les bases d’une consommation responsable, raisonnée et respectueuse de l’environnement.
Pour tendre vers cet idéal positif, nous proposons des standards de qualité de produit élevé, afin d’assurer la pérennité de ceux ci à nos clients. L’enjeu de la durabilité est essentiel.
Désormais nous souhaitons également proposer des produits participant à l’évolution de nos modes de vie et de consommation. Notre gamme de bagagerie alimentaire propose des outils indispensables aux achats en vrac et la limitation de nos déchets individuels.
Chez la Chaise à Guy nous sommes en effet très conscients de la problématique des déchets. Nous souhaitons donc agir là où cela semble possible afin de les limiter.
Maintenant il ne reste plus qu’à poursuivre nos efforts. Cela nous allons le faire en continuant à nous poser des questions et en évoluant. Cette évolution sera réalisée avec et grâce à vous. Votre soutien et vos avis sont primordiaux. Nous tenons à connaitre vos besoins dans le cadre de votre mode de consommation, votre vie familiale ou celle de vos entreprises.
N’hésitez pas à commenter cet article et à nous faire connaitre votre ressenti sur nos questionnements et le pivotage de la Chaise à Guy.
Pour plus d’informations sur notre marque et nos valeurs, vous pouvez également consulté l’article consacré à l’impression responsable.
Cette volonté s’ancre dans une forme de patriotisme et une recherche d’authenticité dans le produit. Dans le cadre de l’alimentation, mais aussi dans celui des produits textiles cette volonté est très présente.
Les consommateurs considèrent la mention “Made in France” comme un gage de qualité, mais celle-ci est néanmoins critiquée.
En effet, il est difficile pour le consommateur de discerner quelles sont les implications pour un bien et une entreprise derrière la mention “Made in France”.
Cette mention est de plus en plus valorisée et populaire. Alors, elle devient un argument marketing de poids et s’attire malgré elle la méfiance du public. Car au même titre que la croissance de la conscience environnementale du grand public a mené au greenwashing, on peut s’attendre à un BleuBlancRougeWashing de la part de certaines entreprises.
Dans cet article, il s’agira de mieux cerner les exigences derrières les mentions et labels “Made in France”. Nous chercheront à comprendre les enjeux sociétaux que revêt la fabrication française.
Les enjeux autours du “Made in France” et de sa mention sur les produits manufacturés sont multiples.
On perçoit très vite une dimension patriotique à la consommation estampillée “Fabriqué en France”. On va vite vouloir lui faire arborer un joyeux coq vêtu d’un drapeau tricolore.
91% des français sont convaincus qu’il s’agit également de valoriser les terroirs et les savoirs faire nationaux et régionaux.
Cette dimension patriotique symbolique et empreinte de tradition devient vite politique dès lors qu’elle amène à une réflexion autour de l’économie, l’industrie et de l’emploi sur le territoire.
Pour les consommateurs, l’un des enjeux est également celui de la qualité de son produit. La perception d’une industrie locale comme un gage de qualité est très forte.
D’autre part, 86% des français estiment qu’acheter un produit fabriqué en France est la garantie d’avoir un produit élaboré selon des normes sociales respectueuses des salariés.
On comprend donc que la dimension sociale du “Made in France” est également un enjeu de poids pour le consommateur.
Enfin la question du “Fabriqué en France” est indéniablement liée à celle de la responsabilité environnementale des entreprises. On comprend qu’une production locale et conséquemment une consommation locale permettent de limiter l’impact environnemental des entreprises et des particuliers.
En effet, la réduction des distances pour l’acheminement de matières premières puis de produits manufacturés permet une limitation des émissions de Co2 liées au transport. Cela donne lieu à une réduction de l’impact environnemental imputable à un produit et une entreprise.
Dans le cadre de la valorisation de territoires et de savoir-faire spécifiques, on pousse l’enjeu du “Made in France” plus loin encore.
On pense par exemple au label sélectif bien connu « Produit en Bretagne » ou à celui « Joaillerie de France » qui permet de porter les valeurs de la bijouterie-joaillerie.
La démarche pour une entreprise de faire apparaître la provenance de ses produits est volontaire et facultative (à l’exception des produits alimentaires).
Cette mention est toutefois engageante pour l’entreprise puisqu’elle doit pouvoir justifier de sa légitimité.
L’un des critères déterminant pour justifier la mention “Made in France” est celui de sa dernière ouvraison. La dernière ouvraison est une transformation substantielle du produit qui doit être économiquement justifiée. L’entreprise française doit être équipée à la réalisation de cette ouvraison. Celle ci doit constituer un stade important de la fabrication.
Pour plus d’information sur le sujet, il vous est possible de visionner le tutoriel réalisé par les douanes françaises.
Il faut comprendre qu’une mention “Made in France” ou “Fabriqué en France” bien qu’engageante ne relève pas d’une certification de la part d’un label.
Les labels résultent d’initiatives privées et émergent dans un contexte où de nombreuses mentions apparaissent sur les produits sans cahier des charges bien définis et rigoureux.
Ils interviennent donc comme organisme certifiant, suivant un cahier des charges spécifique plus ou moins sélectif. Un label peut s’appliquer à un produit, une gamme ou même à une entreprise.
La démarche de labellisation peut-être extrêmement valorisante pour une entreprise. Cependant, les labels sont des organismes privés. Ainsi l’obtention d’un label sera payante, et donc discriminantes pour des entreprises pourvues de moins de moyens.
Du point de vue du consommateur la question des labels est souvent bien confuse. La différence entre les diverses estampillassions est difficile à cerner.
Nous sommes perdus entre celles qui relèvent d’un respect de normes, celles qui sont certifiées par des organismes habilités ou celles qui sont réalisées par l’entreprise elle-même…
De plus, prendre une décision est compliqué sans une connaissance précise des exigences et du cahier de charges de chaque entité ou organisme.
N’hésitez pas à consulter cet article publié sur camif.fr pour y voir plus clair parmi les labels.
En somme, une mention “Made in France” respectant la loi ne garantit pas une fabrication 100% française. Un label plus strict peut permettre d’obtenir un semblant de garantie.
Toutefois les réseaux sociaux montrent aujourd’hui que c’est avant tout la transparence de l’entreprise qui offre le plus de certitude au consommateur.
Si la liberté d’utilisation de la formule “Fabriqué en France” est relativement aisée pour une entreprise, il est en revanche malaisé d’en juger l’usage trop hâtivement et d’en poser les limites éthiques.
Le processus industriel est complexe et rend difficile la traçabilité de produits. Certaines matières premières, notamment textiles ne sont pas ou que très peu disponibles sur le territoire français.
Par ailleurs, les activités immatérielles (la recherche, le développement, la conception) représentent une part importante de la valeur ajoutée d’un produit.
Si toutefois elles ne participent pas à l’emploi industriel du territoire, elles sont pourtant bien réelles et génèrent une activité sur le territoire.
Difficile d’estimer si les obligations inhérentes à l’usage de la mention méritent d’évoluer.
En suisse par exemple pour que les produits industriels puissent bénéficier de la mention “Swiss Made”, 60 % des coûts de fabrication et l’étape essentielle de fabrication doivent être réalisés en Suisse.
Mais en un sens, est-ce que durcir l’accès au “Made in France” ne risque pas de desservir les démarches de relocalisation ?
Car même si aujourd’hui, l’usage de la mention peut sembler presque abusif, c’est un premier pas vers la valorisation du savoir-faire local. Et ce dernier point, de part tous les enjeux qu’il recouvre est loin d’être anodin.
Chez la Chaise à Guy, nous tâchons d’œuvrer à la valorisation d’une fabrication locale, usant de produits respectueux. Pour en savoir plus, consultez l’article sur notre histoire.
N’hésitez pas à nous faire part de vos remarques sur le sujet.
[v
Chez La Chaise à Guy nous adorons nous balader et trouver des produits avec une jolie histoire. La démarche éthique qui accompagne ces initiatives est un plus non négligeable.
Parmi nos adresses préférées nous avons sélectionné 5 boutiques du centre ville incontournables quand on cherche à s’habiller ou à décorer son intérieur. A la française bien sûr, voire même : à la nantaise !
Commençons notre top des boutiques autour du Made in France par Comme Paulette, un concept store installé rue des Carmes à Nantes depuis 2016. La boutique propose également une vente en ligne sur son site.
Le concept de Comme Paulette, est un espace doux et chaleureux qui propose parmi ses produits des articles de créateurs et artisans français voire nantais. Chez Comme Paulette on est accueilli avec soin et on peut trouver de véritables petits trésors.
Que ce soit de la déco, de l’accessoires ou du textile, pour femme comme pour homme c’est la boutique idéale pour se faire plaisir !
La boutique Modetic de Nantes se situe rue Guépin à deux pas de la tour de Bretagne.
Le concept phare de cette boutique c’est son engagement à ne proposer que des vêtements, chaussures et accessoires responsables. De la mode éthique, tout est dans le titre.
Leurs produits sont issus de productions françaises, européennes, ou bien du commerce équitable.
La charte de leurs boutiques s’applique au mode de production mais également aux matériaux. En effet Modetic sélectionne des matériaux éco-responsables (coton bio, tissus recyclés, cuirs végétaux…).
Passons à Mlle à Nantes que vous trouverez rue Contrescarpe. Il s’agit d’une vraie boutique de passionnées et de créateurs. Elle s’adresse à une consommatrice qui souhaite acheter des produits uniques, de qualité et responsables.
Dans cette boutique qui propose parmi sa gamme de nombreux produits Made in France vous trouverez vêtements, chaussures, accessoires et surtout un savoir-faire.
Les gérantes ont à cœur de proposer une expérience client hautement qualitative en faisant part de conseils de style tout en respectant l’identité et la personnalité de leurs clientes.
Les pièces proposées dans la boutique sont pour beaucoup issues de l’artisanat. On y trouve des articles de créatrices locales, mais aussi de Bourgogne et du Sud.
Mlle à Nantes en plus d’une proposition à forte valeur ajoutée donne un sens à nos achats en nous reconnectant avec les créateurs et les fabricants.
La boutique Coquerico située rue Grétry dans le quartier Graslin vous propose des accessoires de mode 100% créateurs et jeunes marques françaises. Bijoux, ceintures, nœuds papillons, il y a de quoi faire plaisir et se faire plaisir…
Un véritable temple de l’originalité et du style à la française !
L’enseigne est présente en ligne et propose des articles dont le design a été élaboré par des créateurs venus de la France entière, mais c’est tout de même son berceau nantais qui garde sa préférence – et la notre?.
Enfin, parlons un peu de la boutique 100% Made in France Sacrés français qui porte bien son nom. Vous la trouverez elle aussi rue des Carmes, en plein centre ville. Le choix de la vente de produits entièrement fabriqués en France s’est imposé pour cette boutique à la fois comme un enjeu éco-responsable mais aussi dans une démarche humaine, de valorisation d’emplois et de savoirs-faire locaux.
Leurs produits sont variés : mode, accessoires, épicerie fine, déco… Il y en a pour tous les goûts. Mais ce qui compte avant tout, c’est que chaque item est issu d’une fabrication française, a un prix juste, et une histoire.
Si vous êtes de Nantes ou seulement de passage, n’hésitez pas à faire un détour par l’une de ces boutiques, vous ne le regretterez pas !
Et si vous êtes ailleurs mais néanmoins sensible à leurs démarches, n’hésitez pas à consulter leurs sites internet et à les soutenir sur les réseaux.
Pour en savoir plus sur le Made in France, vous pouvez consulter notre article sur le sujet.
L’émergence d’une conscience écologique pousse les consommateurs à vouloir limiter l’impact environnemental de leurs achats. Tout comme la fabrication de produits manufacturés à une échelle locale, le circuit court alimentaire apparaît comme une approche pleine de sens.
Les initiatives de développement des circuits-courts, notamment dans l’alimentaire sont de plus en plus plébiscités. À Nantes, en ville ou dans l’agglomération, on trouve de nombreux réseaux de circuit-court, que ce soit à travers des AMAP, ou des services proposés par des entreprises.
La ville de Nantes elle même participe à la diffusion de ces projets, qu’elle supporte, explique et regroupe sur une page dédiée de son site.
Les circuits-courts sont un mode de distribution des produits alimentaires. Il s’agit en premier lieu de limiter le nombre d’intermédiaires du producteur au consommateur. Les réseaux de circuit-court s’organisent donc en vente directe, ou avec l’aide d’un unique intermédiaire.
Limiter les intermédiaires c’est avant tout valoriser le producteur, qui recevra une rétribution à la hauteur de son travail, et qui, dans le cadre de la vente directe aura l’occasion d’échanger avec ses clients et de partager son savoir-faire. Du côté du consommateur c’est un prix plus juste, et l’occasion de mieux connaitre les produits. Ce système met l’accent sur la qualité mais aussi la saisonnalité des produits.
L’objectif des circuits courts est également de limiter les transports des produits. Cette réduction a pour mérite de contribuer à la préservation de l’intégrité des produits sans employer de substances chimiques, ce qui se révèle d’autant plus pratique dans la filière biologique. Par ailleurs, la réduction des transports limite leur impact environnemental.
Le circuit court en vente directe peut prendre la forme de cueillette, vente directe à la ferme, marchés ou AMAP.
Le circuit court en vente indirecte peut prendre la forme de magasins producteurs, supermarché coopératifs, vente sur internet, et même ponctuelle les grandes surfaces dans les espaces dédiés aux productions locales.
La plateforme approximité.fr propose une carte interactive permettant de trouver des points de ventes de produits locaux en Pays de la Loire.
Les AMAP sont des Associations pour le maintien de l’agriculture paysannes. Ces associations proposent à leurs adhérents sous forme d’abonnement des paniers dont les produits sont issus d’exploitations partenaires.
Il existe de nombreuses AMAP à Nantes et à travers la région Pays de la Loire, vous pouvez les retrouver sur l’annuaire du site amap44 qui propose également l’actualité des réseaux.
Le projet a été lancé à Nantes depuis quelques semaines maintenant.
L’idée est la suivante : employer des parcelles disponibles des parcs et jardins de la ville pour y faire pousser des légumes à destination des familles en difficulté. Les produits seront distribués via des banques alimentaires.
« Des espaces verts appartenant à la Ville, des serres, parcelles de jardins partagés ou des terrains engazonnés non occupés et qui sont déjà correctement irrigués. » Romaric Perrocheau, responsable du Service des Espaces Verts et Environnements.
Voilà une belle initiative à l’échelle d’une ville vous ne trouvez pas ?
Vite Mon Marché émerge comme une proposition qualitative et efficace de circuit-court à Nantes mais aussi à la Roche sur Yon, et depuis peu, à Rennes. L’entreprise permet de commander ses produits (légumes, fruits, viandes, traiteur…) auprès de producteurs locaux, et cela avec une organisation logistique infaillible qui permet dans la plupart des cas une livraison dans la journée voire dans l’heure.
L’entreprise Vite Mon Marché s’est formée autour des valeurs de l’audace, l’innovation et la passion pour les produits et les producteurs. En plus de fournir des produits et un service de qualité, l’entreprise promeut ses producteurs à travers des articles et reportages réguliers sur leur savoir-faire et leurs exploitations.
Nous avons eu la chance d’échanger avec le fondateur de Vite Mon Marché, Reynald Naulleau qui a pu nous en dire un peu plus sur son projet.
Vite Mon Marché est né de la volonté de Reynald Naulleau, fils d’agriculteur, de participer à la valorisation du milieu agricole. En 1993, lui même avait été marqué et sensibilisé à cette thématique dans le cadre du développement de fermes de tourismes et fermes pédagogiques.
Dans les premiers temps du projet, Reynald Naulleau a pu s’entourer de producteurs souhaitant venir en aide à son entreprise et « donner un coup de main » à quelqu’un du milieu. Et tandis que Vite Mon Marché prenait son essor et démontrait la qualité de son service, le bouche à oreille a fait son oeuvre parmi les clients, mais aussi parmi les cultivateurs.
Ces derniers sont de plus en plus nombreux à apprécier la démarche de circuit-court innovante proposée par Vite Mon Marché et à souhaiter la rejoindre.
Depuis la crise du Covid, Vite Mon Marché s’est vite démarquée comme une entreprise essentielle. En effet, tandis qu’avant mars l’entreprise traitait une centaine de commandes par jour, ce nombre a été multiplié par 5 pendant le confinement.
Le constat est clair : en cette période troublée, les consommateurs ont cherché à trouver une alternative aux grandes surfaces. D’une part, il était question d’accéder à des produits qualitatifs issus de circuits-courts et de soutenir les producteurs, mais également de profiter d’un service de livraison pratique.
Pendant cette période, Vite Mon Marché a pris conscience de sa valeur et de ce qu’elle pouvait apporter à ses clients, ses collaborateurs, et également les producteurs partenaires, heureux de pouvoir écouler une partie de leurs productions.
Comme nous l’avons évoqué dans cet article, la question du circuit-court devient de plus en plus préoccupante pour de nombreux consommateurs. Ceux ci cherchent à la fois des produits de qualité mais aussi un certain contact avec l’origine de leurs produits.
Vite Mon Marché propose de produits frais, locaux, en direct des producteurs. Par ailleurs, l’entreprise met en avant ses producteurs partenaires à travers des articles et des vidéos, ce qui permet aux clients d’en savoir plus sur l’exploitation d’où provient leurs aliments.
En plus du reste, Vite Mon Marché se démarque par des prix justes et un avantage comparatif en terme de service, la livraison étant rapide et impeccable. Deux arguments qui sont chers aux yeux des consommateurs citadins d’aujourd’hui.
Vite Mon Marché a commencé son aventure à Nantes, celle-ci s’est poursuivie à La Roche-sur-Yon et plus récemment à Rennes…
L’entreprise prend son essor et apparaît désormais comme utile, nécessaire et essentielle, alors elle ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Sa conquête de l’Ouest français est en route et de nombreuses villes pourront à leur tour profiter de cette offre de circuit-court à la nantaise !
Et vous, consommez-vous en circuit-court ? Et par quels biais et quels services ? N’hésitez pas à nous répondre en commentaire !
Si vous êtes friands de démarches positives à Nantes, n’hésitez pas à consulter notre article sur les meilleures boutiques autour du Made in France en ville.
Commençons ce top par un grand classique de l’activité chilienne : le repos. Oui parce que ne rien faire, c’est déjà faire quelque chose, et chez LCAG la sieste est une histoire sérieuse.
Alors n’hésitez plus et pour vous lancer sur votre transat, commencez par dormir un bon coup.
Depuis sa chilienne, une fois la sieste finie pourquoi ne pas faire un peu d’exercice ?
On étire le bras… En avant, en arrière et on tire ! Ou on pointe, c’est selon vos préférences…
Pour les adeptes du Molki aucun soucis ! Le transat est tout à fait compatible avec cet autre sport extrême.
Après l’effort, le réconfort, mais toujours dans votre chilienne bien entendu ! La partie de Molki est finie, en avant pour un petit cocktail, une bonne bière ou un jus de tomate bien frais. Votre chilienne vous accompagne dans votre activité de levé de coude sans problème, vous, vos amis, votre famille et vos voisins !
On vous propose même des transats à l’effigie de vos boissons favorites.
Il est sans doute temps de se cultiver un peu. Alors allez-y, sortez le joli petit bouquin qui traîne dans votre cabas depuis le début des vacances. Et si vos yeux sont fatigués et que vous voulez vous laisser bercer en restant tout à fait détendu, optez pour un livre audio ou un podcast !
LCAG vous conseille vivement Mon Chien Stupide de John Fante lu par Thibault de Montalembert, disponible en livre audio chez Lizzie.
Il n’y a pas photo. Quelque soit la vue à laquelle vous faîtes face en ce moment, c’est très certainement la plus belle. Alors profitez-en !
Détendez-vous, inspirez un bon coup, laissez vous aller dans votre chilienne et regardez autour de vous… C’est magnifique non ?
Il est vrai qu’à notre époque, il est tout à fait probable que vous aillez l’occasion de travailler depuis chez vous ou depuis votre lieu de villégiature. Alors ne restez pas enfermé !
Allez donc vous poser sur une terrasse et sur votre chilienne. Rien ne vous empêchera de travailler tout en étant confortablement installé…
Pour les plus dissipés d’entre vous, il est également possible de faire semblant de télétravailler depuis votre transat, mais ça chut, ça restera notre petit secret.
Si vous êtes à la recherche de sensations fortes, n’attendez plus : surfez sur votre transat !
Le surf à transat c’est la toute dernière mode : il est temps de se lancer à l’eau et d’expérimenter de nouvelles choses.
Cette activité est valable pour tous les sports de planches, alors si comme Guy vous êtes un grand adepte de stand-up-paddle, adoptez désormais le transat-paddle.
Après toutes vos émotions et tous vos merveilleux moments, vous allez très certainement aimer votre transat à la folie et vouloir lui faire cadeau de quelques copains pour lui tenir compagnie.
Heureusement grâce à notre option de personnalisation vous pourrez créer un transat à votre image et à celle de vos passions. Lancez-vous, c’est ici.
Par exemple, pour lui rendre un bel hommage après tant d’aventures vécues, vous pourrez illustrer votre nouveau transat par la photo de votre ancien transat…
Et vous alors, qu’est-ce que vous faîtes avec votre transat ? Parlez-nous en ! Et envoyez nous vos meilleures photos sur les réseaux on a hâte de découvrir vos idées .[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]
Cette semaine j’ai mené l’enquête pour en savoir plus sur l’héritage de Marie et la tradition qui coule dans les veines de La Chaise à Guy. Voici donc en exclusivité un joli portrait de Marie et de sa famille : la couture dans le sang.
Depuis mon arrivée dans l’atelier, de nombreux objets ont attiré mon attention. Quelques vieilles machines décoratives, de petites tables et tabourets d’un autre temps, et des photos… Des photos d’usine où l’on peut admirer en perspective les couturières et couturiers tout à leurs ouvrages.
Lorsque soudain, un détail attire mon attention : n’est-ce pas la même petite table que je vois sous mes yeux et sur la photo ?
C’est ainsi qu’on m’a appris que ces photos que j’aurais pu croire sorties d’un magazine étaient en fait celles de l’usine de la famille de Marie.
Depuis, je meurs d’envie d’en savoir plus, pas vous ?
Heureusement j’ai pu assouvir ma curiosité lors d’un tête à tête avec Marie. Cette dernière – que j’ai importuné en plein travail – m’a raconté l’histoire de sa famille et la sienne au milieu des bruits de moteur de sa machine.
Du côté maternel, la couture coule dans les veines depuis 3 générations. Ce sont les grands-parents de Marie qui ont lancé leurs usines, dédiées au départ à la confection de treillis pour les militaires de l’armée de Terre.
C’est à Vendrennes en Vendée que cette usine familiale a vu le jour en 1952.
Vous l’y trouverez encore aujourd’hui. Et la tradition se perpétuant dans de nombreuses familles les couturiers y travaillant désormais sont pour nombre d’entre eux descendants des premiers occupants des lieux.
L’usine familiale a donc travaillé avec l’armée jusque dans les années 1980. Puis, forts de leur savoir-faire, ils sont montés en gamme.
Les couturiers et couturières ont confectionnés des vêtements pour de grandes maisons de couture ! Dior, Lanvin, Chloé, Vuitton, Givenchy, Agnès. B et j’en passe…
Et dans la famille de Marie, le savoir-faire en matière de confection ne coule pas que du côté maternel. Du côté paternel également, on trouve des tailleurs et ingénieurs textiles talentueux.
Lorsque les grands-parents maternels de Marie sont partis à la retraite, c’est son oncle secondé de sa maman qui a repris l’entreprise.
Ils ont poursuivi son développement, faisant travailler près de 100 personnes dans une atmosphère familiale.
C’est lorsque l’oncle de Marie, trop malade, n’a plus pu poursuivre l’aventure que la décision a été prise de vendre l’usine.
Marie m’a raconté que petite, elle était l’enfant toujours fourrée dans l’usine. C’est même là qu’elle a appris à faire du vélo !
Connue des couturières elle a grandi dans l’ambiance de l’usine et au son des machines à coudre…
Alors pour elle, la question de son avenir professionnel ne s’est jamais vraiment posée. Les parents de Marie l’aurait bien vue devenir médecin ou avocate, mais c’est la couture qui était dans son cœur depuis toujours, et c’est ainsi qu’elle a réalisé avec brio son Bac puis son BTS couture.
Par la suite elle a pu travailler pour Chantelle en tant que responsable qualité, puis brièvement avec son père et enfin avec son oncle et sa mère avant de fonder sa propre entreprise.
C’est désormais avec La Chaise à Guy que Marie partage son savoir-faire, pour notre plus grande joie et celle de nos clients.
Une jolie histoire n’est-ce pas ?
Tradition, couture, passion… N’hésitez pas à nous poser vos questions sur ce portrait, et à nous faire part de vos retours !
Pour en savoir plus sur l’histoire de La Chaise à Guy c’est ici.
Pour ce retour à l’école 2020 si attendu et si particulier, des mesures s’imposent pour équiper les petites têtes blondes. L’enjeu cette année est de les protéger, mais aussi de poursuivre nos efforts vers une consommation responsable. Découvrez ainsi nos conseil pour une rentrée scolaire sécurisée, responsable et zéro-déchets.
On le sait désormais que la vie quotidienne et sociale ne sera plus la même. Les enfants, petits et plus grands en ont bien conscience également mais la rentrée, c’est aussi l’occasion de faire un point.
Il est important de bien inculquer les gestes barrières et de ne pas minimiser leur importance. Et par ailleurs, il est toujours intéressant d’aborder avec vos enfants la question de votre mode de consommation. Impliquez les dans leur rentrée zéro-déchets !
D’après les dernières directives du gouvernement, le port du masque sera obligatoire pour les enfants du niveau collège et lycée (plus de 11 ans), ce qui risque de susciter quelques soupirs. Pourquoi ne pas agir à nouveau de manière responsable en optant pour des masques réutilisables et fabriqués localement ?
Nos masques sont disponibles en taille ado et sont pourvus de nombreux motifs colorés et dynamiques. Il est également possible de les personnaliser, une belle occasion pour votre ado de libérer sa créativité !
Avant de courir vers les magasins, pourquoi ne pas jeter un coup d’œil à vos réserves ? Sans doute vous reste-t-il de nombreuses fournitures datant des années passées, et la bonne nouvelle, c’est que les stylos et cahier ne se périment pas !
Il vous sera certainement possible de constituer une bonne partie de la liste de fournitures avec vos réserves.
Et peut-être même que vous trouverez chez vous les ressources nécessaires pour compléter le trousseau des enfants ?
De nombreuses astuces récup’ et DIY sont disponibles en ligne pour réaliser des fournitures responsables ! Idéal pour une rentrée zéro-déchets. Et ce sera l’occasion d’effectuer des ateliers de création en famille, tout en agissant de manière raisonnée.
Dès le début de l’année, donnez le ton en proposant à vos enfants le nécessaire pour un goûter durable. Eliminez progressivement les emballages jetables et les produits à usages uniques. De nombreuses solutions réutilisables existent pour les déjeuners, en-cas et goûters.
Les fruits sont les vraies stars des goûters durables, pourvus de tous leurs apports nutritifs et d’un emballage naturel, on ne saurait proposer mieux pour une transition vers le zéro-déchet !
Pour les petits gâteaux, favorisez une confection maison ou optez pour les biscuits et autres douceurs proposés dans vos magasins de vrac.
Si vos enfants apprécient la compote, pour sa texture agréable et son côté pratique, laissez de côté les gourdes jetables et adoptez les gourdes réutilisables comme celle proposée par Squiz.
Et enfin pour contenir tous les composants du goûter, optez pour des boites ou sacs à goûter réutilisables. Nos sacs à sandwich lavables, réutilisables et modulables constituent une alternative efficace et vivifiante aux films alimentaires et autres papier aluminium. Leur utilisation pratique rend leur adoption par vous et vos enfants des plus faciles. De nombreux motifs sont disponibles ici.
Cette fois ci, plutôt que de choisir le plus gros paquet de stylos à billes et de surligneurs de toutes les couleurs, pourquoi ne pas sélectionner du réutilisable ?
Pour les stylos, rien de plus simple, faîtes ça à l’ancienne et avec style. Les stylos plumes sont bien plus jolis que ceux à bille et vous redonnerons la joie de l’écriture manuscrite.
Pour les surligneurs par exemple, vous pouvez découvrir les fluos rechargeables Edding. Une solution innovante et responsable.
Et en ce qui concerne les produits non rechargeables, choisissez les options les plus durables et qui se recyclent le mieux. Par exemple les ardoises sans bords plastiques ou les cahiers non plastifiés.
Où effectuez-vous vos achats pour la rentrée ? En ligne ? En grandes surfaces ?
Et si vous alliez à la rencontre de vos petits commerçants ?
La rentrée, c’est aussi l’occasion de faire vivre les entreprises, les artisans et les commerçants français. Achetez vos trousses et sacs auprès de créateurs français, ou faîtes vos commandes de cahiers au papetier du coin !
Et cette idée de miser sur la proximité vaut aussi pour d’autres achats scolaires, comme les livres au programme par exemple. Ceux ci sont au même prix en ligne ou chez votre libraire de quartier, alors autant favoriser ce dernier qui saura vous apporter des conseil passionnés !
Finalement, il ne nous reste plus qu’à conclure cet article en vous souhaitant une très belle rentrée à vous et vos enfants ! Certes étrange, elle n’en restera pas moins un nouveau départ après ces mois troublés.
Cette démarche s’inscrit dans la volonté de limitation des déchets. Il s’agit d’une part d’éliminer les rejets dans l’environnement de plastique et autres emballages indésirables, mais aussi de mettre un stop à la production d’objets jetables néfastes.
En effet, en 2019, l’ADEME réaliser un rapport sur les déchets en France, et exprime l’idée suivante : le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas.
La prévention des déchets constitue une priorité des stratégies européenne et française en matière d’économie circulaire. Dans la continuité des politiques de prévention engagées depuis le début des années 2000, la France s’est fixé un nouvel objectif de réduction de 10 % des déchets ménagers et assimilés entre 2010 et 2020.
Afin de participer à l’effort, de nombreux systèmes alternatifs se développent. Les pratiques d’upcycling, les ressourceries, les boutiques de vrac, les marques engagées, chacun apporte des solutions pour mener une vie plus respectueuse de l’environnement sans trop de contraintes.
Divers types de commerces émergent afin de proposer aux français des solutions alternatives de consommation.
S’il y a un premier pas à faire vers le zéro-déchet, c’est bien celui ci. Les boutiques proposant des produits alimentaires en vrac sont de plus en plus accessibles pour tous types de consommateurs.
Dans ces boutiques comme notamment les Day by Day partout en France, on trouve des produits de première nécessité : pâtes, riz, farines, légumineuses… Il est également possible d’y trouver des friandises et autres gâteries apéritives : mini saucissons, crackers, bonbons. Les clients sont invités à se servir dans les contenants préalablement pesés sur place, et il est possible d’amener ses propres bocaux et sacs.
Les sacs à vrac sont désormais un indispensable des courses. Ils s’inscrivent dans la démarche de consommation responsable, et c’est pourquoi La Chaise à Guy propose des sacs à vrac fabriqués en France dans un tissu non traité.
Aujourd’hui, même les grandes surfaces les plus connues se lancent dans la démarche en proposant une gamme de produits secs disponibles en vrac, et en autorisant les contenants réutilisables.
Acheter des produits d’occasion participe également à la démarche vers le zéro déchet. En effet, donner une seconde vie à un objet c’est lui éviter la poubelle, et c’est aussi ne pas consommer un produit manufacturé qui aura généré une nouvelle empreinte carbone.
Il est possible de trouver des objets ou meubles d’occasion sur Leboncoin ou le Marketplace Facebook, mais aussi dans des boutiques spécialisées ou des brocantes.
Les ressourceries ou recycleries sont les lieux parfaits pour dénicher les objets dont on a besoin sans générer une empreinte carbone supplémentaire, et en leur évitant la poubelle. Dans la belle ville de Nantes, nos ressourceries coup de coeur sont La Ressourcerie de l’île, à deux pas de Trentemoult, et le Grand Magasin qui fait face à la cathédrale.
On apprécie leurs démarches et leur façon d’agir en faveur du réemploi.
A l’échelle de nos déchets ménagers, nous sommes responsables – selon l’ADEME en 2019 – d’environ 580 kilogrammes de déchets par an par habitant. La marge de manœuvre est immense et de nombreux outils peuvent nous aider à faire diminuer cette masse de déchets. Voici pour commencer quelques pistes afin de réduire nos déchets d’ordre alimentaire.
Il y a dans nos cuisines de nombreux postes de déchets, c’est indéniable. La bonne nouvelle c’est que la marge d’amélioration est grande, et que de nombreux gestes simples peuvent contribuer à une consommation plus responsable.
Que jetez-vous dans votre poubelle de cuisine ? Pensez-y quelques instants. De l’essuie-tout ? Des éponges élimées ? Du film alimentaire ? Des emballages d’aliments et de produits pour la vaisselle ? Des fanes et épluchures de légumes ?
Pour les emballages nous avons déjà évoqué les courses en vrac, qui permettent de limiter ces derniers.
Pour ce qui est de l’essuie-tout, des éponges des alternatives réutilisables existent. Par exemple, les éponges « tawashi » à acheter ou faire soi-même. Pour l’essuie-tout, vous pouvez opter pour les rouleaux réutilisables, mais n’oubliez pas non plus qu’un torchon peut toujours rendre service.
Le film alimentaire peut lui être remplacé par l’utilisation pour vos restes de boites hermétiques, de bocaux, de tissu enduit de cire alimentaire, ou encore de charlottes ! Nous proposons un modèle de Charlotte alimentaire qui peut se révéler fort pratique dans votre cuisine au quotidien.
Pensez désormais à réemployer vos fanes et épluchures de légumes ! De nombreuses recettes existent et vous surprendront très certainement. Prenez par exemple le pistou réalisé avec des fanes de radis et de carottes proposé par Too Good To Go : un délice !
Quand vous et votre famille partez en déplacement, que ce soit pour un pique-nique occasionnel ou pour le travail et l’école au quotidien, vous consommez à nouveau de nombreux emballages jetables.
Désormais des solutions sont possibles pour manger et goûter à l’extérieur sans générer davantage de déchets.
Les boites et pochettes et sacs à goûter sont une option idéale pour transporter différents composants d’un goûter pour enfant ou d’un snack pour adulte.
Petits gâteaux, fruits, pain… Mettez votre en-cas dans un sac à goûter idéalement conçu. Nous vous proposons notre modèle ici.
Pour le transport de vos sandwichs, qu’ils soient fait maison où achetés dans votre boulangerie préféré, nous avons élaboré un sac à sandwich modulable qui correspond à tout vos formats de sandwichs. Pour les gros comme les petits mangeurs, emmenez le dans votre sac puis servez-vous en comme d’un set de table.
Nous voilà au terme de ce premier article traitant de nos idées autour du zéro-déchet. Quelques pistes pour commencer que nous compléterons dans un futur article.
Et vous, que faîtes-vous pour limiter vos déchets ? Faîtes nous part de vos bonnes idées en commentaire !
La Chaise à Guy, c’est avant tout une entreprise nantaise, avec des valeurs fortes, à savoir :
Comme vous l’avez peut-être vu dans notre précédent article (Nos idées zéro-déchet #1), le vrac est l’une des solutions ! Vous connaissez forcément le « VRAC », cette nouvelle manière de faire ses courses, en achetant des produits en vrac dans des sachets en tissu ou en papier.
En France, la vente en gros est réalisée dans certaines épiceries spécialisées ainsi que dans les supermarchés. Il donne la possibilité de faire des achats tout en réduisant le coût de l’emballage, que le consommateur peut utiliser à plusieurs reprises. Les années 2010 ont vu une très forte croissance du secteur de la grande distribution en Europe. On estime qu’en 2023 la quantité d’emballage qui sera économisée par les grossistes de l’Union européenne est d’environ 5 500 tonnes.
Le vrac est une solution idéale aux tonnes de déchets émis chaque année par les emballages, et les sacs en plastique. Alors, pourquoi ne pas passer au vrac pour soutenir l’écologie ? Ce qui est encore mieux, c’est de soutenir le vrac français ! Grâce à cela, vous pouvez être écologique et soutenir le Made In France.
Comme vous le savez sûrement, La Chaise à Guy est une entreprise nantaise. C’est donc de cette ville dont nous allons parler aujourd’hui. Pour vous aider à mieux faire votre choix parmi les magasins nantais de vrac, nous vous avons concocté un TOP 5 des magasins/épiceries proposant du vrac à Nantes.
Chez La Voisine, est une épicerie vrac zéro déchet située dans le joli quartier de Chantenay, non loin de nos locaux. C’est en avril 2019 que Hélène
ouvre son épicerie pour partager avec les Nantais son amour pour l’anti-gaspillage et la réduction des déchets. Son épicerie vrac nantaise est ouverte du mardi au samedi. Vous pourrez y trouver toutes sortes de choses. Vous avez même des cosmétiques ! Bien sûr, les fournisseurs sont locaux pour favoriser le circuit court (un article à ce sujet).
Les Jolis Bocaux, c’est l’histoire de Marine et de Charline qui se sont lancées dans l’aventure en 2018 et ont ouvert leur boutique l’année dernière. Leur épicerie est située à deux pas du marché de Talensac. Vous pourrez y trouver toutes sortes de choses que ce soit du sec, du frais, ou encore des produits d’hygiène ou ménagers. L’agriculture biologique et le circuit court sont mis en avant, de quoi satisfaire les adeptes du BIO et du local, tout en évitant un maximum le gaspillage. Une belle initiative qui vous attend juste à côté du marché de Talensac.
Colégram, est une épicerie zéro déchet BIO, ouverte par Lucie et Estelle, dans le sud de Nantes, à Rezé. Voyant que le sud de Nantes
manquait d’épicerie vrac comme cela, l’idée et le lieu étaient vite trouvés pour les deux fondatrices. Dans cette épicerie, vous trouverez des
produits de qualité et issus de l’agriculture biologique. Pour ceux qui auraient peu de temps, un système de click and collect sera même disponible sur le site de Colégram.
O Bocal, est l’une des toutes premières épiceries de la ville. Ouverte en 2014 par Johanna, l’équipe s’est vite agrandie en 6 ans. Aujourd’hui, elle est engagée dans le zéro déchet et vous accueille du mardi au samedi dans leurs 2 magasins situés à Nantes.
Comme vous avez pu le comprendre avec le nom de la boutique, vous emmenez votre bocal vide et vous repartez le bocal rempli, pour éviter les déchets et les emballages.
Tous les produits sont vendus en vrac ou avec des emballages respectant l’environnement, c’est comme un supermarché. Dans l’épicerie, il y a de tout, même une partie droguerie est présente.
Des ateliers y sont proposés dans le but de sensibiliser le public au zéro déchet, mais aussi de mieux consommer au quotidien.
Dose de sens, c’est une jolie épicerie BIO et sans emballage, située sur l’Île de Nantes. Cette épicerie favorise le « Made In France » et les
circuits-courts pour son approvisionnement. Cela permet de soutenir les producteurs et l’économie locale. Le concept est tout aussi simple que le reste des épiceries vrac : vous venez avec vos sacs en tissu et bocaux, pour éviter tout gaspillage alimentaire et lutter contre les emballages.
Le concept génial de cette boutique, est le coin dînette, qui vous permet de déguster des plats préparés sur place.
L’épicerie est située 16 Mail des Chantiers, à Nantes.
J’espère que cet article vous permettra de mieux choisir votre épicerie vrac à Nantes, ou de vous mettre au vrac si ce n’est pas déjà fait. La Chaise à Guy propose une multitude de sacs vrac Made In France, pour vous accompagner lors de vos courses !